18/07/2022
SPIRITISME : NOUS AVONS TESTÉ LE CUARTO DE LUZ
Ranky a testé le Cuarto De Luz. Vous trouverez l’essentiel des résultats dans cette note.
L’intégralité de la séance figure dans le livre publié récemment par Ranky et intitulé :”Le paranormal de mes yeux vu” (Editions Trajectoire).
Si vous pensez avoir, vous aussi, la faculté de produire des phénomènes d’ectoplasmie, n’hésitez pas à contacter le CIEEPP par courriel à :
paranormal@orange.fr
Le spiritisme ou phénomène d’ectoplasmie a connu son apogée fin du XIXème et début du XXème siècle. Ces séances de matérialisations ectoplasmiques auraient pour but d’approcher et de comprendre l’existence d’un “autre monde” et de permettre d’entrer en contact avec celui-ci, dans la joie et la simplicité.
Des personnes viennent assister aux séances et éventuellement consulter le ou les médiums dans le but d’obtenir des réponses à des questions d’ordre philosophique, de recevoir des soins ou d’entrer en contact avec des défunts.
De nos jours, les foyers d’ectoplasmie demeurent rares.
Voici un exemple persistant au Mexique et pour lequel notre Comité a été consulté pour expertise.
Nom du groupe : LE CUARTO DE LUZ
L’expérimentation a eu lieu à l’Institut ICLP à Paris, dans les locaux prêtés par madame Djohar Si Ahmed, psychanaliste, par gentillesse et ouverture d’esprit et sans que celle-ci n’ait participé à l’organisation.
L’expérimentation a eu lieu en plusieurs séances, en présence de personnalités de la science, de la médecine, de chercheurs en parapsychologie, d’écrivains, de journalistes de la presse radio et écrite...
PARMI CES PERSONNALITES :
Hubert LARCHER, Docteur en médecine, licencié en philosophie, ancien directeur de l’Institut métapsychique.
Grégory GUTTERIEZ, Journaliste Scientifique.
Mario VARVOGLIS, Docteur en psychologie, Président de l’Institut Métapsychique.
Père François BRUNE. Homme d’église.
Didier Van CAUWELAERT, Ecrivain.
Eric RAULET, Association “Ondes”
Lina ROSSETTi Association “Ondes”
Jean-Michel GRANDSIRE, Ecrivain, éditeur.
Djohar SI AHMED, Psychanaliste.
Jean-Pierre PETIT, Astrophysicien.
Ranky, Illusionniste professionnel, président du CIEEPP.
Yaguel DIDIER, Médium.
Jean-Yves CASGHA, Journaliste scientifique, écrivain.
Marc MENANT, Ecrivain, animateur radio.
Marie-Monique ROBIN, Ecrivain, grand Reporter.
Maud KRISTEN, Médium, écrivain.
Jacques MANDORLA, Journaliste d’investigation, écrivain, observateur au CIEEPP.
Paul-Louis RABEYRON, Membre de l’Institut ICLP.
Francis MOBIO Secretaire de l’Institut Métapsychique.
Véronique Grousset, Grand reporter au Figaro magazine.
VOICI LE COMPTE-RENDU D’EXPERTISE DE RANKY
« A partir de 17 heures commence un rituel de purification auquel se soumettront de bonne grâce tous les participants (passage au-dessus d’un brasier, prise de trois gorgées d’eau, lavage des mains sans les essuyer) avant de se soumettre à la fouille d’un huissier de justice à laquelle j’échapperai par un détournement d’attention connu des illusionnistes.
Venu en qualité d’observateur et non de détracteur, j’ai suivi de bout en bout le rite imposé, en faisant preuve de probité intellectuelle et en m’abstenant de toute partialité, de jugement a priori et d’intolérance à l’égard de quelque croyance que ce soit, ainsi que le stipule l’article 3 des statuts de notre comité. (J’avais également déposé mon alliance, ma montre et mon téléphone portable dans les vestiaires.) Ainsi qu’il nous a été suggéré, j’ai fait un vœu concernant un proche.
Comme je l’avais souhaité, ma place se trouvait sur un côté, à trois mètres environ du ‘‘médium’’, installé, en transe, dans un fauteuil. De ma main gauche, je tenais la main de Véronique Grousset, journaliste, et de ma main droite celle d’une médium mexicaine qui formait ‘‘pilier’’ en bout d’une chaîne qui n’était pas fermée mais en forme de fer à cheval.
DES PHOTOS ONT ETE PRISES
En face de moi, une photographe avait été autorisée à prendre deux clichés à l’aide d’un appareil numérique à plasma, ce qui m’intéressait au plus haut point étant donné que ce genre de prise de vue ne peut être effectué qu’à l’aide d’un mini ‘‘spot’’ donnant en général une forte lumière halogène, ce qui devait me permettre de découvrir éventuellement quelques détails précieux.
Véronique Grousset, grand reporter au Figaro magazine, était également autorisée à prendre deux clichés à l’aide d’un appareil photo classique, sans flash et monté sur pied.
La porte d’entrée était verrouillée et les fenêtres obturées à l’aide de papier adhésif. L’obscurité complète était faite dans la salle. Un narrateur expliqua le déroulement de la cérémonie qui allait commencer par la manifestation d’Esprits d’enfants qu’il semblait bien connaître puisqu’ils étaient conviés nommément à venir se divertir avec des jouets disposés sur une tablette fixée sous la table placée au milieu des assistants. La séance fut brusquement suspendue, car un rai de lumière filtrait en haut de la fenêtre située derrière moi.
J’ai distinctement entendu le ‘‘médium’’ quoiqu’il fût en transe, signaler ce fait, en langue espagnole. Aussitôt, la médium mexicaine assise à ma droite a lâché ma main et a quitté sa place. L’applique située au-dessus de Didier Van Cauwelaert fut rallumée et on s’évertua à calfeutrer ce rai de lumière. Pendant cet entracte imprévu, j’eus tout loisir d’observer les jouets prétendument achetés le matin même (sauf le tambour mexicain) alors qu’ils apparaissaient bien usagés. Je dénombrais parmi ceux-ci plusieurs plumeaux tels que l’on pouvait en trouver dans les effets spirites observés dans l’illusionnisme du temps de Camille Flammarion ou de Victor Hugo, qui servaient à caresser à distance les visages des participants. A cette époque, ces accessoires étaient souvent télescopiques.
La séance pouvait redémarrer. Le noir était total. Le narrateur reprit la parole et nous annonça à nouveau l’arrivée des Esprits des enfants qui avaient attendu sagement que la réparation de la fenêtre soit terminée. Nous eûmes droit à une bénédiction générale par projection d’eau avant quelques espiègleries enfantines (airs d’harmonica, bruits de tambour, frôlements des cheveux, des visages, des mains, etc.). Sous la houlette de Didier Van Cauwelaert, décidément en forme, les participants reprirent en chœur des airs connus du répertoire de Brassens, Charles Trenet ou Edith Piaf, en passant par Brel, le tout quelquefois entrecoupé de ferventes prières.
Certains participants furent étonnés par la rapidité et le silence de déplacement des effets. Il n’y a aucun mystère en cela : ces techniques s’apprennent très facilement. Quant au tambour dont les sons semblaient venir de toutes directions et même du plafond, il n’y a rien de plus facile à obtenir à l’aide d’un instrument formé d’une seule peau tendue sur un cadre cylindrique. Le déplacement rapide de l’exécutant, l’orientation bien étudiée de l’instrument, la force des coups, permettent des effets sonores étonnants.
Puis vinrent les matérialisations lumineuses (mains de spectres ou de différentes parties corporelles pouvant faire croire à la présence de plusieurs entités). La ‘‘prise’’ de gants phosphorescents (comme l’était le cadran des anciens réveils ou des montres) dans un costume adapté ne pose aucun problème, surtout dans le noir.
JE SAVAIS A L’AVANCE QUAND DES EFFETS “SURNATURELS” ALLAIENT SE PRODUIRE
Au cours de la séance qui dura plus de deux heures, une quinzaine de manifestations se produisirent près de moi. J’ai tout de suite remarqué qu’à chaque fois, et sans doute pour que je ne sois pas tenté de libérer ma main pour toucher le spectre, la médium mexicaine placée à ma droite posait sa main sur mon avant-bras afin de neutraliser mes mouvements éventuels. C’est ainsi que, lorsqu’elle prenait mon avant-bras, je savais qu’il allait se passer quelque chose à notre proximité, dans la minute à venir !
Revenons un peu en arrière, au moment de mon entrée dans la salle : le ‘‘médium’’ est en transe, assis dans le fauteuil. Je mémorise la stature de l’homme, sa largeur d’épaule, la longueur de ses bras, évalue sa taille, etc. Ces renseignements seront de la plus grande utilité au moment de la prise des photos.
Le ‘‘médium’’ allait enfin donner l’autorisation des prises de vue par un geste annoncé avant le début de la séance : joindre les mains en attitude de prière, en se plaçant devant la photographe.
LE MEDIUM AVAIT DISPARU DE SON FAUTEUIL
On n’apercevait que les mains fluorescentes. A ce moment, le spot de l’appareil numérique s’alluma pendant près de vingt secondes, éclairant nettement la situation : le spectre apparut tout de blanc vêtu. Même stature, même carrure, mêmes chaussures. Ses mains n’étaient plus fluorescentes (puisque ce phénomène ne fonctionne que dans le noir complet). Indéniablement il s’agissait bien du ‘‘médium’’ déguisé. C’était d’autant plus certain que le fauteuil, qu’il était censé ne jamais quitter, était vide ! Six personnes constateront le fait. De toute évidence, l’homme n’avait pas non plus la capacité de bilocation ! C’était bien lui le manipulateur ! Le narrateur annonça qu’il fallait cesser les prises de vues si l’on ne voulait pas fâcher les Esprits… Dès l’obscurité rétablie, les mains de l’Esprit redevinrent fluorescentes.
UNE SEANCE QUI AURAIT PU MAL TOURNER
La séance fut écourtée, des participants commençant à lancer des commentaires défavorables aux acteurs. Tout se termina par une dernière bénédiction à l’eau destinée ordinairement à éteindre toutes les particules lumineuses censées représenter les âmes de nos défunts jonchant le plancher, mais ici pratiquée dans l’urgence et un début de scandale.
Des "matérialisations" de glaïeuls" eurent lieu sur le plancher.
Des particules furent prélevées ainsi qu’une quantité d’eau d’aspect laiteux. Ces échantillons allaient êtres soumis à un laboratoire de la police scientifique. Mais d’ores et déjà leur constitution n’avait rien de ‘‘surnaturel’’.
Suite à cette séance du 20 septembre, Didier Van Cauwelaert m’a téléphoné pendant plus d’une heure afin de connaître mon avis. Il m’a demandé de revenir à une prochaine séance, ce que j’ai refusé, étant suffisamment édifié par le spectacle précédent. Je lui ai proposé d’envoyer un autre illusionniste membre de notre comité, spécialiste des numéros de lumière noire, Claude Géraldy, auquel je ne donnerais pas d’explications pour obtenir un avis supplémentaire. Mais en fournissant simplement deux éléments du programme, Claude Géraldy, à juste titre, refusa de se déplacer. Je n’ai évidemment pas pu parler à Didier Van Cauwelaert de ce que je n’ai pas vu pendant que nous étions dans le noir le plus complet, mais à sa question : "Dois-je arrêter ou continuer les séances prévues ?", je lui ai conseillé, à la lueur de mes commentaires, de continuer les représentations, afin de se rendre à l’évidence des fraudes patentes. Je lui ai aussi conseillé d’installer deux caméras infrarouges. Ainsi, toute la mise en scène pourrait immanquablement être mise au jour ou, ce qui est plus probable, le ‘‘Cuarto de Luz’’ refuserait d’être filmé. Ce qui s’est effectivement passé : le ‘‘Cuarto de Luz’’ a catégoriquement refusé d’être filmé !
Conclusions du compte-rendu officiel
J’atteste qu’il n’y a rien de paranormal dans le ‘‘Cuarto de Luz’’ et que les effets physiques produits lors de cette séance relèvent à peine d’un illusionnisme en vogue au XIXe siècle.
Ranky
MES CONCLUSIONS PERSONNELLES
Il n’est pas question pour moi de réduire la totalité des effets décrits à de simples trucs de “magie” ou à des fraudes, car il est bien évident que je distingue le rôle essentiel de tout “rituel” dans les manifestations religieuses ou spirites pouvant déclencher des phénomènes psi.
A travers le monde, des danses, des chants, des prières, des objets symboliques sont employés dans toutes les cultures traditionnelles, comme dans le chamanisme par exemple, et contribuent souvent à modifier les états de conscience de certains participants et les aider à favoriser ainsi des états psychologiques ou même physiques touchant la métapsychique.
Ranky
10:22 Publié dans Spiritisme : nous avons testé le Cuarto De Luz | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : spiritisme, ectoplasme, matérialisation, médium, au-delà, test
NORMAL ? PARANORMAL ?
NORMAL ? PARANORMAL ?
Auteur de l'Encyclopédie du Mystère (Éditions Trajectoire)
Certains cas n'ont, hélas, pu être expérimentés pour différentes raisons : éloignement - impossibilité du sujet à se déplacer - abandon des investigations en cours d’expérimentation - refus d’être testé - etc... Bien entendu, nous ne formulons pas de conclusions à leur sujet. Il n’en demeure pas moins que ceux-ci sont troublants et méritent d’être relatés.
Voici quelques exemples
LA PHOTO 1 DE JEAN-CLAUDE
Jean-Claude conduit une voiture en vue d’atteindre le château de Montségur qui culmine à 1207 mètres d’altitude et qui fût un haut lieu du Catharisme. Cette forteresse ariégeoise fut le théâtre de terribles événements.
Après 10 mois de luttes infructueuses pour envahir cette forteresse, l’armée royale composée de 6 000 hommes donnera l’assaut final le matin du 16 mars 1244. On demandera aux 500 prisonniers de renier leur foi nouvelle ou de périr sur le bûcher. 207 “Parfaits” connurent ainsi le supplice des flammes, ce qui aujourd’hui encore, alimente les spéculations et les rumeurs les plus folles.
Au cours de l’ascension, Jean-Claude est soudainement en proie à un étrange mal-être qui l’oblige à s’arrêter. Il confie alors le volant à sa compagne qui, prise de tremblements dans les virages, est contrainte à son tour d’arrêter la voiture.
Très inquiets, ils décident alors de regagner le parking situé plusieurs centaines de mètres plus bas où ils voient leurs malaises respectifs disparaître totalement et d’où ils prennent ces photos.
LA PHOTO 2 DE JEAN-CLAUDE
Ces photos, accompagnées de phénomènes physiques ressentis simultanément par deux personnes, sont parmi les plus étranges que nous ayons reçues (photos Jean-Claude Carton).
L’ÉTONNANTE HISTOIRE DE THOMAS, MAXIME ET FRED
Il y a quelques temps, sur un lieu de fouilles archéologiques, Maxime et Fred avaient déjà été témoins de phénomènes étranges.
Thomas ayant rejoint cette équipe, ils se rendent à nouveau sur les lieux en empruntant un petit chemin goudronné débouchant sur un sentier herbeux. Au moment précis où Thomas pose le pied sur ce sentier herbeux, il ressent une douleur vive au niveau du sternum. Inquiet, il se place entre Thomas et Fred, pensant conjurer cette douleur qui ne cesse d’augmenter au fur et à mesure qu’ils progressent en sous-bois. Les trois amis s’aperçoivent alors qu’ils ressentent exactement la même douleur.
Maxime refuse de continuer sa marche et fait demi-tour, bientôt suivi de ses deux collègues. Étrangement, en quittant le sentier, la douleur des 3 hommes cesse instantanément.
Revenu au camp, en sortant de la tente, Thomas voit une petite boule lumineuse, bleutée, très claire, zigzaguer au ras du sol en se dirigeant vers le chemin du chantier, puis disparaitre. Pensant avoir affaire à une hallucination, Thomas interroge un autre collègue de travail qui lui confirme avoir vu, lui aussi, cette boule volante.
Thomas court alors chercher Maxime et ils reprennent quelques photos de cet endroit où ils avaient ressenti les mêmes douleurs. Sur l’une d’elle, la boule est à nouveau présente, faisant se poser à nos amis de préoccupantes questions !
UN MAGICIEN QUI SORTAIT DE SON CORPS
Claude Stavisky, illusionniste, membre de notre comité, m’a raconté les lévitations de corps qu’il faisait vers l’âge de huit ou neuf ans. Il s’allongeait sur son lit, les jambes bien tendues, les bras le long du corps, les yeux ouverts. Au bout d’à peine une minute, il sentait son corps s’élever lentement jusqu’au plafond.
Il pouvait demeurer en suspension de nombreuses secondes, mais s’il avait la malencontreuse idée de bouger, il redescendait rapidement avec l’impression de tomber du lit. Claude s’amusait à cet exercice qu’il pouvait répéter à volonté, presque chaque soir, au coucher. Puis ayant grandi, il ne tenta plus ce genre d’expériences qu’il avait réalisées des dizaines de fois.
Vers l’âge de dix ans, lors de l’incarcération de sa mère à la prison de la Roquette pour des suites douloureuses de l’affaire concernant son père, Claude souffrit terriblement de cette séparation qui avait engendré, en lui, une faculté étrange : celle de faire venir sa mère près de son lit. Le processus était rigoureusement le même que celui des lévitations de son corps : une fois couché, il étendait les jambes, plaçait les bras le long du corps, sans fermer les yeux, et sa mère apparaissait, debout, bien vivante. Mais dès qu’il approchait la main pour la toucher, même avec des ruses d’indien, sa mère disparaissait instantanément. Comme pour les élévations de son corps, il faisait naitre l’apparition quand il voulait. Le phénomène dura tout le temps de la durée de la détention, soit environ un mois.
Beaucoup plus tard, devenu adulte, Claude Stavisky fit un grand nombre de tentatives pour retrouver cette capacité mystérieuse, mais il n’y parvint plus jamais.
Michou et Claude Stavisky
LE TOMBEAU DU CASTRAT
Le phénomène a commencé en 1994. Pendant sept à huit soirées consécutives et à deux ou trois reprises dans l’année, un jeune homme entend des musiques symphoniques avec des choeurs, principalement le soir, au coucher. Cela dure de quelques secondes à quelques minutes.
Il s’agit de compositions originales qu’il nous chante pour que nous puissions les enregistrer sur bande magnétique et les transcrire sur papier. Un compositeur nous a assuré que c’était parfait au niveau de la ligne mélodique et de l’harmonie Or, il faut savoir que ce jeune homme ne connait pas la musique.
Au bout de deux ou trois auditions, vient se greffer sur les instruments et les choeurs, une voix très aiguë et très pure qui donne des messages intéressant la vie personnelle de notre médium malgré lui, ce qui le perturbe quelquefois, d’autant plus qu’il n’ose en parler à personne de son entourage, de peur d’être pris pour un farfelu ou plus grave encore.
Je suis le seul à recueillir ses confidences, mais le jeune homme ne souhaite pas que je divulgue son identité. Pendant une certaine période, la voix très aiguë et très pure du chanteur répétait, à l’oreille de notre médium, le nom d’un village et d’une colonne brisée.
Nous avons fini par retrouver ce village où le jeune homme ne s’était jamais rendu auparavant. Là, à notre grande stupéfaction, nous avons découvert une tombe comportant une colonne cassée.
Et dans cette tombe repose un chanteur d’opéra, plus précisément un castrat : c’est peut-être sa voix, très aiguë et très pure, qu’il avait entendue !
Douze ans plus tard, le phénomène continuait à se produire.
LE GUIDE DE LA ROUTE
Certains automobilistes sont capables, en pleine campagne, de trouver un lieu précis : lieu-dit - restaurant isolé - direction d’un village etc.. sans plan ni aucun renseignement sur la direction à prendre.
Dans l’imbroglio des routes secondaires et des chemins, un instinct semble indiquer la route à prendre : “ C’est à droite, là je tourne à gauche, maintenant je vais tout droit... ”.
Lorsque je donnais des spectacles en discothèques, qui sont la plupart du temps perdues en pleine campagne, j’ai étonné mes partenaires des dizaines et des dizaines de fois par cette faculté que je possède moi-même, et que j’explique très mal par la seule logique.
5 SIÈCLES D’AVANCE !
Tiré de l’ouvrage signé Basilio Timpanaro : “Le origini del clavicembalo” (Les origines du clavecin), extrait du Codex casimirianum (fig II.8-Clavicordo, germania, Franz Hôch, Coburg) datant de 1448, cette gravure révèle un bien curieux message.
Dans cette histoire des instruments de musique, on voit, en haut et à droite du document, un personnage utilisant correctement un orgue portatif, c’est-à-dire, horizontalement, seule position permettant, à l’époque, de jouer.
L’étrangeté réside dans le fait que le dessinateur représente un autre personnage, en bas à gauche, utilisant ce qui sera, 5 siècles plus tard, un accordéon, qui lui se joue verticalement, et dont le premier brevet sera déposé seulement en mai 1829.
Alors, vision précognitive, claivoyance ?
Si vous pensez avoir des capacités paranormales étonnantes, n'hésitez pas à nous contacter par email : paranormal@orange.fr
10:16 Publié dans NORMAL ? PARANORMAL ? | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : paranormal, lévitation, décorporation, mystere, au-dela, voyant