Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

18/07/2022

SPIRITISME : NOUS AVONS TESTÉ LE CUARTO DE LUZ

Ranky a testé le Cuarto De Luz. Vous trouverez l’essentiel des résultats dans cette note.
81a61dcfdfefe5360cd6e4f6efb0fe55.jpgL’intégralité de la séance figure dans le livre publié récemment par Ranky et intitulé :”Le paranormal de mes yeux vu” (Editions Trajectoire).

Si vous pensez avoir, vous aussi, la faculté de produire des phénomènes d’ectoplasmie, n’hésitez pas à contacter le CIEEPP par courriel à :
paranormal@orange.fr


Le spiritisme ou phénomène d’ectoplasmie a connu son apogée fin du XIXème et début du XXème siècle. Ces séances de matérialisations ectoplasmiques auraient pour but d’approcher et de comprendre l’existence d’un “autre monde” et de permettre d’entrer en contact avec celui-ci, dans la joie et la simplicité.
Des personnes viennent assister aux séances et éventuellement consulter le ou les médiums dans le but d’obtenir des réponses à des questions d’ordre philosophique, de recevoir des soins ou d’entrer en contact avec des défunts.
De nos jours, les foyers d’ectoplasmie demeurent rares.

Voici un exemple persistant au Mexique et pour lequel notre Comité a été consulté pour expertise.

Nom du groupe : LE CUARTO DE LUZ
L’expérimentation a eu lieu à l’Institut ICLP à Paris, dans les locaux prêtés par madame Djohar Si Ahmed, psychanaliste, par gentillesse et ouverture d’esprit et sans que celle-ci n’ait participé à l’organisation.

L’expérimentation a eu lieu en plusieurs séances, en présence de personnalités de la science, de la médecine, de chercheurs en parapsychologie, d’écrivains, de journalistes de la presse radio et écrite...

PARMI CES PERSONNALITES :
Hubert LARCHER, Docteur en médecine, licencié en philosophie, ancien directeur de l’Institut métapsychique.
Grégory GUTTERIEZ, Journaliste Scientifique.
Mario VARVOGLIS, Docteur en psychologie, Président de l’Institut Métapsychique.
Père François BRUNE. Homme d’église.
Didier Van CAUWELAERT, Ecrivain.
Eric RAULET, Association “Ondes”
Lina ROSSETTi Association “Ondes”
Jean-Michel GRANDSIRE, Ecrivain, éditeur.
Djohar SI AHMED, Psychanaliste.
Jean-Pierre PETIT, Astrophysicien.
Ranky, Illusionniste professionnel, président du CIEEPP.
Yaguel DIDIER, Médium.
Jean-Yves CASGHA, Journaliste scientifique, écrivain.
Marc MENANT, Ecrivain, animateur radio.
Marie-Monique ROBIN, Ecrivain, grand Reporter.
Maud KRISTEN, Médium, écrivain.
Jacques MANDORLA, Journaliste d’investigation, écrivain, observateur au CIEEPP.
Paul-Louis RABEYRON, Membre de l’Institut ICLP.
Francis MOBIO Secretaire de l’Institut Métapsychique.
Véronique Grousset, Grand reporter au Figaro magazine.

VOICI LE COMPTE-RENDU D’EXPERTISE DE RANKY
« A partir de 17 heures commence un rituel de purification auquel se soumettront de bonne grâce tous les participants (passage au-dessus d’un brasier, prise de trois gorgées d’eau, lavage des mains sans les essuyer) avant de se soumettre à la fouille d’un huissier de justice à laquelle j’échapperai par un détournement d’attention connu des illusionnistes.
Venu en qualité d’observateur et non de détracteur, j’ai suivi de bout en bout le rite imposé, en faisant preuve de probité intellectuelle et en m’abstenant de toute partialité, de jugement a priori et d’intolérance à l’égard de quelque croyance que ce soit, ainsi que le stipule l’article 3 des statuts de notre comité. (J’avais également déposé mon alliance, ma montre et mon téléphone portable dans les vestiaires.) Ainsi qu’il nous a été suggéré, j’ai fait un vœu concernant un proche.

Comme je l’avais souhaité, ma place se trouvait sur un côté, à trois mètres environ du ‘‘médium’’, installé, en transe, dans un fauteuil. De ma main gauche, je tenais la main de Véronique Grousset, journaliste, et de ma main droite celle d’une médium mexicaine qui formait ‘‘pilier’’ en bout d’une chaîne qui n’était pas fermée mais en forme de fer à cheval.

DES PHOTOS ONT ETE PRISES
En face de moi, une photographe avait été autorisée à prendre deux clichés à l’aide d’un appareil numérique à plasma, ce qui m’intéressait au plus haut point étant donné que ce genre de prise de vue ne peut être effectué qu’à l’aide d’un mini ‘‘spot’’ donnant en général une forte lumière halogène, ce qui devait me permettre de découvrir éventuellement quelques détails précieux.

Véronique Grousset, grand reporter au Figaro magazine, était également autorisée à prendre deux clichés à l’aide d’un appareil photo classique, sans flash et monté sur pied.

La porte d’entrée était verrouillée et les fenêtres obturées à l’aide de papier adhésif. L’obscurité complète était faite dans la salle. Un narrateur expliqua le déroulement de la cérémonie qui allait commencer par la manifestation d’Esprits d’enfants qu’il semblait bien connaître puisqu’ils étaient conviés nommément à venir se divertir avec des jouets disposés sur une tablette fixée sous la table placée au milieu des assistants. La séance fut brusquement suspendue, car un rai de lumière filtrait en haut de la fenêtre située derrière moi.

J’ai distinctement entendu le ‘‘médium’’ quoiqu’il fût en transe, signaler ce fait, en langue espagnole. Aussitôt, la médium mexicaine assise à ma droite a lâché ma main et a quitté sa place. L’applique située au-dessus de Didier Van Cauwelaert fut rallumée et on s’évertua à calfeutrer ce rai de lumière. Pendant cet entracte imprévu, j’eus tout loisir d’observer les jouets prétendument achetés le matin même (sauf le tambour mexicain) alors qu’ils apparaissaient bien usagés. Je dénombrais parmi ceux-ci plusieurs plumeaux tels que l’on pouvait en trouver dans les effets spirites observés dans l’illusionnisme du temps de Camille Flammarion ou de Victor Hugo, qui servaient à caresser à distance les visages des participants. A cette époque, ces accessoires étaient souvent télescopiques.

La séance pouvait redémarrer. Le noir était total. Le narrateur reprit la parole et nous annonça à nouveau l’arrivée des Esprits des enfants qui avaient attendu sagement que la réparation de la fenêtre soit terminée. Nous eûmes droit à une bénédiction générale par projection d’eau avant quelques espiègleries enfantines (airs d’harmonica, bruits de tambour, frôlements des cheveux, des visages, des mains, etc.). Sous la houlette de Didier Van Cauwelaert, décidément en forme, les participants reprirent en chœur des airs connus du répertoire de Brassens, Charles Trenet ou Edith Piaf, en passant par Brel, le tout quelquefois entrecoupé de ferventes prières.

Certains participants furent étonnés par la rapidité et le silence de déplacement des effets. Il n’y a aucun mystère en cela : ces techniques s’apprennent très facilement. Quant au tambour dont les sons semblaient venir de toutes directions et même du plafond, il n’y a rien de plus facile à obtenir à l’aide d’un instrument formé d’une seule peau tendue sur un cadre cylindrique. Le déplacement rapide de l’exécutant, l’orientation bien étudiée de l’instrument, la force des coups, permettent des effets sonores étonnants.

Puis vinrent les matérialisations lumineuses (mains de spectres ou de différentes parties corporelles pouvant faire croire à la présence de plusieurs entités). La ‘‘prise’’ de gants phosphorescents (comme l’était le cadran des anciens réveils ou des montres) dans un costume adapté ne pose aucun problème, surtout dans le noir.

JE SAVAIS A L’AVANCE QUAND DES EFFETS “SURNATURELS” ALLAIENT SE PRODUIRE
Au cours de la séance qui dura plus de deux heures, une quinzaine de manifestations se produisirent près de moi. J’ai tout de suite remarqué qu’à chaque fois, et sans doute pour que je ne sois pas tenté de libérer ma main pour toucher le spectre, la médium mexicaine placée à ma droite posait sa main sur mon avant-bras afin de neutraliser mes mouvements éventuels. C’est ainsi que, lorsqu’elle prenait mon avant-bras, je savais qu’il allait se passer quelque chose à notre proximité, dans la minute à venir !

Revenons un peu en arrière, au moment de mon entrée dans la salle : le ‘‘médium’’ est en transe, assis dans le fauteuil. Je mémorise la stature de l’homme, sa largeur d’épaule, la longueur de ses bras, évalue sa taille, etc. Ces renseignements seront de la plus grande utilité au moment de la prise des photos.

Le ‘‘médium’’ allait enfin donner l’autorisation des prises de vue par un geste annoncé avant le début de la séance : joindre les mains en attitude de prière, en se plaçant devant la photographe.

LE MEDIUM AVAIT DISPARU DE SON FAUTEUIL
On n’apercevait que les mains fluorescentes. A ce moment, le spot de l’appareil numérique s’alluma pendant près de vingt secondes, éclairant nettement la situation : le spectre apparut tout de blanc vêtu. Même stature, même carrure, mêmes chaussures. Ses mains n’étaient plus fluorescentes (puisque ce phénomène ne fonctionne que dans le noir complet). Indéniablement il s’agissait bien du ‘‘médium’’ déguisé. C’était d’autant plus certain que le fauteuil, qu’il était censé ne jamais quitter, était vide ! Six personnes constateront le fait. De toute évidence, l’homme n’avait pas non plus la capacité de bilocation ! C’était bien lui le manipulateur ! Le narrateur annonça qu’il fallait cesser les prises de vues si l’on ne voulait pas fâcher les Esprits… Dès l’obscurité rétablie, les mains de l’Esprit redevinrent fluorescentes.

UNE SEANCE QUI AURAIT PU MAL TOURNER
La séance fut écourtée, des participants commençant à lancer des commentaires défavorables aux acteurs. Tout se termina par une dernière bénédiction à l’eau destinée ordinairement à éteindre toutes les particules lumineuses censées représenter les âmes de nos défunts jonchant le plancher, mais ici pratiquée dans l’urgence et un début de scandale.
8eeeb2c314ef4a860a4f3f00b81fc564.jpg



Des "matérialisations" de glaïeuls" eurent lieu sur le plancher.





Des particules furent prélevées ainsi qu’une quantité d’eau d’aspect laiteux. Ces échantillons allaient êtres soumis à un laboratoire de la police scientifique. Mais d’ores et déjà leur constitution n’avait rien de ‘‘surnaturel’’.

Suite à cette séance du 20 septembre, Didier Van Cauwelaert m’a téléphoné pendant plus d’une heure afin de connaître mon avis. Il m’a demandé de revenir à une prochaine séance, ce que j’ai refusé, étant suffisamment édifié par le spectacle précédent. Je lui ai proposé d’envoyer un autre illusionniste membre de notre comité, spécialiste des numéros de lumière noire, Claude Géraldy, auquel je ne donnerais pas d’explications pour obtenir un avis supplémentaire. Mais en fournissant simplement deux éléments du programme, Claude Géraldy, à juste titre, refusa de se déplacer. Je n’ai évidemment pas pu parler à Didier Van Cauwelaert de ce que je n’ai pas vu pendant que nous étions dans le noir le plus complet, mais à sa question : "Dois-je arrêter ou continuer les séances prévues ?", je lui ai conseillé, à la lueur de mes commentaires, de continuer les représentations, afin de se rendre à l’évidence des fraudes patentes. Je lui ai aussi conseillé d’installer deux caméras infrarouges. Ainsi, toute la mise en scène pourrait immanquablement être mise au jour ou, ce qui est plus probable, le ‘‘Cuarto de Luz’’ refuserait d’être filmé. Ce qui s’est effectivement passé : le ‘‘Cuarto de Luz’’ a catégoriquement refusé d’être filmé !

Conclusions du compte-rendu officiel

J’atteste qu’il n’y a rien de paranormal dans le ‘‘Cuarto de Luz’’ et que les effets physiques produits lors de cette séance relèvent à peine d’un illusionnisme en vogue au XIXe siècle.
Ranky

MES CONCLUSIONS PERSONNELLES
Il n’est pas question pour moi de réduire la totalité des effets décrits à de simples trucs de “magie” ou à des fraudes, car il est bien évident que je distingue le rôle essentiel de tout “rituel” dans les manifestations religieuses ou spirites pouvant déclencher des phénomènes psi.
A travers le monde, des danses, des chants, des prières, des objets symboliques sont employés dans toutes les cultures traditionnelles, comme dans le chamanisme par exemple, et contribuent souvent à modifier les états de conscience de certains participants et les aider à favoriser ainsi des états psychologiques ou même physiques touchant la métapsychique.
Ranky

NOUS AVONS TESTÉ DOMINIQUE VALLÉE MÉDIUM SPIRITE

medium_LIVRE_RANKY.3.jpgLe CIEEPP a testé Dominique Vallée, médium spirite. Les résultats obtenus sont étonnants. Vous en trouverez l'essentiel dans cette note.
L'intégralité de la séance réalisée par le Comité figure dans le livre publié récemment par Ranky et intitulé : "Le paranormal... de mes yeux vu" (Editions Trajectoire).


Si vous pensez avoir, vous aussi, des facultés de médium, n'hésitez pas à contacter le CIEEPP par courriel à : paranormal@orange.fr


Présentation de Dominique Vallée

medium_D_VALLÉE_portrait_1_.2.jpg775 rue de l’Orme Gauthier
78630 ORGEVAL
Tél. : 01 39 75 52 24
Portable : 06 86 45 65 24
Site Internet : www.dominiquevallee.com
Blog : medium-spirite.blogspirit.com
Email : vallee.dominique@neuf.fr



Dominique Vallée possède cette faculté particulière de pouvoir poser son regard sur l’au-delà. Elle utilise cette aptitude comme thérapie pour aider ceux qui sont dans la souffrance lors du départ d’un être cher. Ne venez pas chercher une voyance en la rencontrant : elle veut seulement renouer le lien entre celui qui vient de partir et celui qui reste.
Elle fait, avec une profonde honnêteté, ce qu’elle appelle son « travail de couturière » : mettre à nu, clairement, les fils invisibles qui sont tissés avec nos désincarnés, afin d’apporter le début de réconfort nécessaire à l’apprentissage du deuil.
Elle partage les analyses du Père Brune, auteur du livre « Les morts nous parlent » et considéré comme le meilleur spécialiste de l’étude des phénomènes spirites, qu’elle a rencontré lors de la rédaction de son propre livre « Derrière le miroir… l’autre vie ».

medium_Rencontre_Père_Brune.2.jpg

La rencontre avec le Père Brune


Un livre-document

medium_LIVRE_Derriere_le_miroir.7.jpgDominique Vallée est l'auteure de « Derrière le miroir… l’autre vie » (Editions Trajectoire) dans lequel elle montre que la grande majorité des êtres humains ont une peur instinctive de l’invisible et du phénomène inéluctable qu’est la mort.
L’évolution de la société est, en partie, responsable de cet état de fait car elle nous a soustrait la mort. Aujourd’hui, dans la grande majorité des cas, nous naissons et mourrons à l’hôpital. Et la médecine nous fait croire qu’existe à présent un ordre chronologique de départ pour l’au-delà : d’abord les grands-parents, puis les parents, ensuite les enfants… Mais ceci n’est qu’une illusion créée par l’évolution des techniques. On voit partir tellement de gens jeunes qui n’avaient ni fumé, ni bu, ni pris de drogue et qui n’avaient pas d’antécédents familiaux de maladies graves.
Autrefois, la maison était un creuset de joies et peines, souvent non exprimées : la mère pouvait y mourir en couche, les enfants en bas âge, les parents et les grands-parents plus tard. Personne n’y trouvait à redire, ou si peu, car la mort faisait alors partie intégrante de la vie.
Maintenant, la science et la médecine abordent les grandes questions métaphysiques de la vie et de la mort, mais ne répondent pas, de façon satisfaisante, à la question de la survie. On peut également constater que la connaissance du monde invisible semble susciter une notable indifférence. Ce qui montre bien, hélas, que nous en sommes encore à l’âge de pierre de la spiritualité.
Ce qui fait écrire à Dominique Vallée : « Tout cela est bien dommage car il m’est arrivé, à maintes reprises, de croiser des personnes matérialistes ayant tellement peur de perdre cette vie - qu’elles pensent unique donc très précieuse pour elles - qu’elles peuvent tomber dans un état névrotique qui va les plonger dans une grande souffrance. Elles viennent alors rejoindre toutes celles qui ont perdu un être cher, qui ont senti la terre s’ouvrir sous leurs pieds et qui ne connaissent plus que la douleur engendrée par le vide et l’absence. Mon travail commence ici. Je vous le dis bien fort : la mort n’existe pas ! ».


Préface du livre par Maguy Lebrun

Maguy Lebrun, auteur du best-seller « Médecins du ciel, médecins de la terre » (Robert Laffont), est la fondatrice, avec Daniel son mari médium, des groupes de prières qui aident aussi ceux qui vont partir, à passer de l'autre côté du miroir, dans la sérénité et la joie.
Elle a aimablement préfacé le livre de Dominique Vallée de ce très joli texte : « Les expériences relatées dans le livre de Dominique Vallée sont fréquentes chez beaucoup d'Humains : je les appelle les "dons" ou les "signes" du Ciel. Bien des chemins relient le ciel et la terre. Les comprend-on ? Les emprunte-t-on ?
Tous les humains, dans leur vie terrestre, ont connu ces moments de contacts avec "ailleurs", parfois même sans s’en rendre compte…
Lorsque mon mari Daniel Lebrun a reçu les premiers messages des vivants du ciel, il n'en avait aucun souvenir, aucun… Il a fallu enregistrer pour qu'il écoute et puisse ensuite dire : « Mais je ne peux avoir dit ça,… je l’ignore ! ». Grâce à lui, ma vie et beaucoup d'autres vies terrestres ont été bouleversées.
Nous vivons une terrible époque sous le couvert de Dieu ou de la religion : chacun défend ses opinions… Les seules que nous puissions avoir sont la tolérance, le respect de l'autre, l'Amour que nous devons donner.
Merci à Dominique Vallée, et à beaucoup d'autres humains dont le Père Brune, d'expliquer leurs expériences, leurs vécus, pour aider les hommes dans cette période de souffrance.
Un jour, l’entité Etty, ma réalité quotidienne, m’a dit : « Si tous les hommes croyants avaient, chaque jour, une minute de pensée pour la paix, les forces divines s'en nourriraient pour le bonheur de la Terre
».



Interview de Dominique Vallée

Dominique Vallée a accepté de recevoir Ranky et Jacques Mandorla dans sa maison d’Orgeval (Yvelines), où elle exerce son activité de médium spirite et de thérapeute du deuil. Avec pour objectif de permettre aux gens de faire leur deuil d’un être cher avec moins de souffrances et de ne plus se sentir abandonnés car, grâce à l’extrême précision des messages qu’ils reçoivent par son intermédiaire, ils comprennent que leur défunt continue à vivre, mais sur un autre plan.

« Comment avez-vous débuté ? »
Dominique Vallée : « Depuis l’enfance, je vis des expériences particulières, comme les rêves prémonitoires ou les messages posthumes, mais je n’ai jamais osé en parler à personne. Puis, un jour, alors que je discute à la terrasse d’un café avec une dame d’une cinquantaine d’années, je vois brusquement derrière son épaule l’image d’un homme moustachu, vêtu d’une chemise hawaïenne et portant au poignet une montre de luxe. Je décris à la dame ce que je vois. Elle pâlit soudain et m’avoue qu’il y a dix ans, elle a perdu son mari, originaire des DOM-TOM. Elle lui avait offert cette montre et son mari la porte sur lui dans la tombe ».

« Est-ce facile de contacter un mort ? »

Dominique Vallée : « En réalité, tout dépend du disparu. À sa mort, chacun de nous « remonte » avec son petit panier, dans lequel il y a ce qu’on a été sur Terre. Dans le dialogue qui s’instaure avec le défunt, on retrouve toujours les traits de caractère qu’il avait de son vivant. Ainsi, une personne discrète et peu bavarde aura du mal à être contactée, car elle ne comprend pas le sens de cette démarche et reste alors sur sa réserve. Par contre, on arrive parfois à des communications extraordinaires, comme ce fut le cas pour Raspoutine, personnage haut en couleurs, avec lequel j’ai été en contact par l’intermédiaire d’une de ses descendantes. Je suis persuadée que l’évolution spirituelle du défunt compte beaucoup et que certaines âmes ne sont pas prêtes ou bien n’ont pas encore reçu l’autorisation divine de nous contacter ».

« De quel support vous servez-vous ? »
Dominique Vallée : « Je n’utilise ni écriture automatique, ni table tournante, ni pendule, ni magnétophone, ordinateur ou téléviseur servant à la transcommunication instrumentale. Personnellement je n’utilise qu’une simple photo, si possible prise de face afin de bien voir le regard du défunt. Mais j’ai remarqué que les morts se servent aisément des ondes électriques : pendant des séances, des lumières s’éteignent ou s’allument. Un jour, juste avant de couper mon poste de télévision, je suis persuadée d’avoir vu l’image de mon père, d’une grande netteté, dessinée en pointillés noirs et blancs ».

« Que recherchent les gens qui viennent vous voir ? »
Dominique Vallée : « Tous ont perdu un proche : père, mère, conjoint, enfant… Ils sont alors dans une très grande souffrance car ils ne ressentent que le vide et l’absence. Ils ne peuvent donc pas faire leur deuil. Lorsqu’on établit le contact avec le défunt, je suis frappée par les précisions que me donne ce dernier : la description des fleurs qu’il aimait, ce qui le faisait rire… La personne qui vient me consulter comprend alors très vite que ce n’est pas moi qui parle et que, même si elle ne reverra plus le défunt, elle peut, par mon intermédiaire, dialoguer avec lui et continuer le lien qui les unit. Dès la fin de la première séance, les plaies du deuil commencent déjà à cicatriser ».

« Que ressentez-vous pendant une séance ? »
Dominique Vallée : « J’ai le sentiment de partir dans une autre dimension. C’est un peu comme si j’entrais dans du coton : je n’entends plus avec mes oreilles mais avec mon cerveau. La voix du défunt n’a plus rien à voir avec la parole humaine : c’est plutôt la voix d’une âme. Mais les mots et les phrases qui me parviennent ne sont pas les miens : je ne suis qu’un canal. Pendant le contact, je ressens une grande sérénité et souvent beaucoup de bonheur. À la fin de la séance, je redescends doucement dans la réalité qui m’entoure ».

« Pour conclure, qu’aimeriez-vous dire aux internautes qui consultent notre blog ? »
Dominique Vallée : « Les défunts nous sont proches et les liens d’affection qui nous unissent ne disparaissent pas. Ils se poursuivent dans leur nouvelle existence, comme en témoignent ceux qui sont encore sur Terre : « Je le vois. Il me parle. J’ai senti sa main sur mon épaule… ». Ces réactions viennent souvent de gens qui me disent pourtant « ne croire en rien ». Cette expérience bouleverse souvent leur vie et leur ouvre des portes incroyables pour les faire sortir de leur triste quotidien. Ils comprennent aussi qu’en dehors de l’enveloppe terrestre du corps, il existe une âme qui est éternelle. Finalement, mon métier consiste à faire revenir les gens vers Dieu. En conclusion, je leur dirai : « N’oubliez pas vos défunts, pensez à eux et priez pour eux, juste avec vos mots d’amour ».


Expériences de médiumnité réalisées par le Comité illusionniste d’expertise et d’expérimentation des phénomènes paranormaux (CIEEPP)

Ces comptes rendus sont parus, en intégralité, dans le livre de Ranky : « Le paranormal de mes yeux vus » (Editions Trajectoire).

Vendredi 26 août 2005
Expériences de contact avec les morts sur photos
Sujet : Dominique Vallée


Le protocole d’expérimentation a été établi le jeudi 25 août 2005 par les illusionnistes suivants, membres du Comité d’expertises CIEEPP : Ranky, Président du Comité - Blondine - Claude Stavisky. Avis technique a été pris par liaison téléphonique auprès de Pierre Edernac, également membre de ce Comité.
La séance a été enregistrée intégralement au magnétophone et photographiée par Jacques Mandorla, journaliste d’investigation.
Trois photos ont été présentées à Dominique Vallée : celles d’Eric, de Henri et de Nicolas.


Expérience N°1 : Eric

medium_Vallée_séance_.2.jpg

Dominique Vallée en train de travailler sur la photo d'Eric proposée par le Comité.

Dominique Vallée : « Cet homme était dans le chagrin. Il y a des vibrations très douloureuses au niveau de la tête... Peu ouvert... Peu de vie spirituelle. Il n’a pas pu se sortir d’une situation difficile... ».
Conclusions de Ranky : « Je ne donnerai pas de détails concernant ce chagrin. Eric parlait peu. La situation difficile évoquée s’est terminée par un terrible accident de la route où, en effet, la tête de Eric a été horriblement touchée ».


Expérience N°2 : Henri
Dominique Vallée : « Cet homme est dans la colère. La boisson lui a été fatale. Déçu, il passe à côté de la vie. Le prénom Paul ou Paulette tourne autour de lui. Il n’a jamais réfléchi à ce qui est bien ou pas bien. Il vit, subit et finit sa vie dramatiquement, pris dans un engrenage, rempli de culpabilité. Il est conscient et ne peut pas lutter ».
Conclusions de Ranky : « Toute l’existence de Henri a été axée sur sa femme Paulette, décédée de la maladie de Charcot dont il s’est toujours obsessionnellement senti coupable ! Paulette était née un 19 septembre et il a organisé cet anniversaire en solitaire, le 19 septembre 2000 en buvant de l’alcool jusqu’à ce que mort s’ensuive ».


Expérience N°3 : Nicolas
Dominique Vallée : « Il est allongé sur un lit, avec des perfusions. Il est crucifié... Il est en phase finale... Il avait du mal à se stabiliser, professionnellement. Il allait d’un travail à un autre. Il était dans la recherche... Il montrait toujours une joie de vivre, mais il avait un problème... Quelque chose n’était pas d’équerre dans sa vie. Il avait un problème de sang. Il n’avait pas trop de spiritualité... et n’avait pas envie de nous dire certaines choses... Cartésien... avec une intelligence très au-dessus de la moyenne ».
Conclusions de Ranky : « Il s’agit de mon ami Nicolas Maillard, journaliste d’investigation, promis à une belle carrière, décédé dans de grandes souffrances à 33 ans. Problème de sang : oui. Crucifié : oui. Problèmes professionnels : oui, de par sa grande probité, son professionnalisme incorruptible. Joie de vivre : oui, en permanence. Avait-il un problème dans sa vie ? Peut-être. Nous ne le saurons pas. Il est parti avec son secret ».


Conclusions générales de Ranky à propos de ces expériences de médiumnité :

« Les détails perçus par Dominique Vallée lui permettent d’accomplir une mission de réconfort envers les personnes ayant perdu un être cher. Sa douceur, sa modestie, ses capacités hors du commun, doublées d’une expérience personnelle parfois douloureuse, l’autorisent à pratiquer une thérapie du deuil d’une importance capitale pour des personnes en détresse ».