18/07/2022
MYSTERES DE LA VIE ORDINAIRE
MYSTÈRES DE LA VIE ORDINAIRE DOSSIER N°10
Présages d'animaux : des superstitions toujours d'actualité
Par Jacques Mandorla
Auteur du livre "66 tests pour développer vos capacités paranormales"
(Éditions Trajectoire)
Depuis l'aube des temps, les présages sont les signes précurseurs qui permettent à l'Homme de prévoir l'avenir. La plupart de ces présages sont fondés sur l'observation du comportement des animaux. Voici pourquoi.
Utiliser des présages, c'est être superstitieux. Le mot « superstition », du latin « superstitio », crainte des dieux, exprime bien cette peur, inscrite en l'Homme depuis son apparition sur Terre et déclenchée par les éléments météorologiques (tonnerre, éclairs ... ), les maladies et les animaux.
Pour se protéger, l'Homme a donc dû apprivoiser la Nature au moyen de la superstition. En observant surtout les animaux.
ABEILLE
Pour les Grecs, les Romains, les Égyptiens ou les Celtes, l'abeille, appelée « nourrice de Jupiter », a toujours eu un caractère sacré.
En Inde, Si un jeune homme aperçoit une abeille qui vole près de lui, il gagnera l'amour d'une jeune fille.
AIGLE
Il symbolise le courage, la puissance et la fortune.
Dans tout le massif alpin, Voir un aigle voler, annonce des gains d'argent.
ÂNE
Sa réputation de bêtise vient de la légende selon laquelle, dans le Jardin d'Eden, Dieu lui demanda son nom et qu'il ne parvint pas à répondre.
Si un âne se roule dans la poussière, le temps sera beau, mais s'il dresse les oreilles, il y aura de la pluie (France).
Lorsqu'un homme sort dans la rue et qu'il rencontre un âne, ses projets n'auront aucune chance d'aboutir (Italie).
ARAIGNÉE
Sa bonne réputation remonte au Moyen Âge, quand on la trouvait dans toutes les maisons. Elle devint vite un animal bénéfique parce qu'elle mangeait les insectes, comme en France où Voir une araignée tomber du plafond annonce un héritage.
CHAT
Le chat est, de loin, l'animal le plus cité dans les présages. Véritable divinité chez les Égyptiens (la déesse Bastet), le chat est l'objet de nombreuses croyances.
Entendre un chat miauler à minuit annonce un mariage prochain dans la maison (Angleterre).
Dans la plupart des pays d'Europe :
Si un chat se lèche et fait sa toilette, il y aura une visite dans la journée.
Si un chat éternue, c'est signe de bonheur dans la maison.
Si un chat se met dos au feu, il y a risque de tempête.
CHAT NOIR
En pleine Inquisition, toute personne possédant un chat noir était soupçonnée de sorcellerie. C'est pourquoi chez les croyants, on tuait les chats noirs de chaque portée.
Seuls les Écossais y voient un heureux présage : Un chat noir étranger, qui entre dans la maison, portera bonheur.
CHIEN
Symbole de la fidélité, il est, à peu près partout, bénéfique.
En Europe, Être suivi par un chien inconnu, porte bonheur.
Mais aux Etats-Unis, Voir un chien endormi, pattes et queue étendues, annonce un décès.
COCCINELLE
La voir se poser sur soi est signe de chance, à condition ni de la chasser, ni de la tuer car, selon une très ancienne croyance, elle représente la Vierge Marie, d'où son nom de "bête à bon Dieu".
CORBEAU
Cet oiseau est, dans le monde entier, un animal de mauvais augure, à cause de sa couleur et de son attirance pour les cadavres.
Les Indiens d'Amérique du Nord le surnomment d'ailleurs le « messager de la mort ».
Des chercheurs expliquent cette croyance par l'odorat très développé du corbeau, qui lui fait percevoir de loin toute odeur de putréfaction.
En Angleterre, une croyance très ancienne affirme : Lorsque les corbeaux de la Tour de Londres auront disparu, la famille Royale régnante s'éteindra définitivement, entraînant la ruine du pays.
En France, Si un corbeau s'abat sur le toit d'une maison, cela annonce une mort prochaine.
Mais en Allemagne, on positive : Si un homme aperçoit deux corbeaux qui volent ensemble, il recevra, sous trois jours, de l'argent.
ÉCUREUIL
En France, Faire du mal à un écureuil porte malheur.
Cette superstition trouve ses origines dans la légende qui prétend qu'un écureuil aperçut, au Paradis, Ève croquer dans la pomme de la tentation.
FOURMI
Dans de nombreux pays, Piétiner des fourmis apporte la pluie.
Ce présage repose sur l'observation du comportement réel des fourmis : lorsqu'elles sentent le mauvais temps arriver, elles transportent leurs œufs hors de leur nid.
HIRONDELLE
Elle symbolise la messagère de Dieu et l'arrivée du beau temps.
Dans toute l'Europe, on dit que Si elle vole haut le temps sera beau, mais si elle rase le sol, elle annonce la pluie.
L'hirondelle parvient, en effet, à ressentir, à l'avance, les différences barométriques annonciatrices de changement de temps.
PAPILLON
Une vieille croyance prétend que le papillon porterait l'âme d'une personne disparue.
C'est pourquoi, cet animal est toujours protégé et bénéfique.
En Inde, Si une jeune mariée voit un papillon se poser sur son bras droit, elle aura un garçon, et sur son bras gauche, une fille.
En Écosse, Si une femme voit un papillon se poser sur sa robe, elle se mariera dans l'année.
PIGEON
Symbole d'amour car le mâle couve les œufs de sa femelle, cet animal est, pourtant, à l'origine de nombreux présages maléfiques.
Au Japon, Une plume de pigeon trouvée chez soi annonce une mort.
C'est aussi le cas dans la plupart des pays européens où Voir un pigeon entrer dans une maison est signe d'un deuil prochain, car ses roucoulements sont considérés comme les plaintes des âmes souffrantes.
RAT
Animal de mauvais augure.
En Angleterre, on considère qu'il abrite l'âme d'un mort.
C'est pourquoi Si un rat pénètre dans une chambre, il annonce une mort.
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DOSSIER N°9
Le projet « Conscience globale » permettra-t-il de prévoir des événements à l'échelle planétaire ?
Extrait du livre de Jacques Mandorla
"66 tests pour développer vos capacités paranormales" (Éditions Trajectoire)
L'Américain Roger Nelson, psychologue à Princeton (New Jersey), est le concepteur, en 1996, du « Global Consciousness Project » (Projet conscience globale).
Il s’agit d’un réseau d'une soixantaine de générateurs numériques aléatoires (G.N.A.) qu'il a mis en place en divers endroits du globe (souvent à l'intérieur d'un ordinateur) et qui sont connectés entre eux par Internet.
À Paris, l’I.M.I. (Institut Métapsychique International) en possède deux.
Localisation géographique de la soixantaine de laboratoires G.N.A. (points rouges) participant au Global Consciousness Project.
Mesure des émotions collectives
Nelson a démontré, courbes statistiques à l'appui, comment les G.N.A. semblent enregistrer la perception d'éventuelles anomalies dans la génération de nombres aléatoires, qui seraient corrélées avec d'importantes émotions collectives lors d'événements mondiaux.
Nelson a obtenu des résultats prometteurs lors d'événements, comme l'enterrement de la Princesse Diana et celui de Mère Teresa, ou encore l'accident du sous-marin russe Koursk.
Mais l'exemple le plus caractéristique semble être celui du 11 septembre 2001, jour des attentats du World Trade Center de New York. Sur l'ensemble du réseau, en effet, on note ce jour-là une sorte de signal de détresse à l'échelle planétaire !
Pour le chercheur Michel Granger : « Quelque chose a perturbé l'égrenage régulier des nombres binaires des machines G.N.A. Comme si l'inconscient collectif défini par C.G. Jung avait subi, à ce moment-là, une brutale crispation, apte à induire une interférence sur les processus électroniques censés obéir aux lois du hasard. L'homme, pris non pas individuellement mais collectivement, aurait-il l'aptitude insoupçonnée de forcer la chance en influençant la cohérence interne de son environnement ? Il est dommage que ce soit lors de telles tragédies que des questions aussi fondamentales soient posées ».
Sur la courbe des attentats de New York apparaît une étrange et incroyable anomalie : le pic émotif s'est déclenché plusieurs heures avant l'impact du premier avion (8h45) sur l'une des tours jumelles ! Comme si une masse importante d'individus avait pressenti le drame.
11 septembre 2001 : le pic émotif des générateurs numériques aléatoires s'est déclenché plusieurs heures avant l'impact du premier avion.
Rêves prémonitoires concernant le 11 septembre 2001
À côté des appareils électroniques type G.N.A., on note des réactions humaines individuelles issues de rêves prémonitoires.
Michel Granger, ayant relevé l'existence de centaines de rêves de ce type concernant les attentats du 11 septembre, a voulu en savoir plus : « Après avoir contacté plusieurs associations américaines de rêveurs, je peux dire que c'est vrai. Parmi les actes de voyance onirique qui jurent enregistrés avant, figure un email du 30 août d'une dénommée Kathy, qui parle « du crash de quatre avions qui explosent sur un aéroport, près de Boston, laissant un monceau de cendres ». Ou encore, le 3 septembre, le témoignage d'un autre rêveur qui assiste, en dormant, à l'effondrement d'un building et entend un bruit d'avion qui s'en approche. Quand il voit les images du 11 septembre à la télévision, c'est pour lui comme une expérience de déjà-vu ».
11 septembre 200l : la première tour du World Trade Center a déjà été percutée par un avion détourné par des terroristes. La seconde tour va être touchée dans quelques secondes.
Et Michel Granger de poursuivre : « Le fait que le nombre de victimes d'accidents collectifs ferroviaires, aériens et hélas aujourd'hui attentats terroristes, est toujours inférieur à celui qu'il devrait être un jour normal, continue de nous interpeller, quant à notre capacité de pressentir un danger et, inconsciemment, de l'éviter. C'est Jean Moisset, le spécialiste bien connu des synchronicités, qui attira mon attention sur le fait qu'un nombre anormalement élevé de passagers ne s'étaient pas présentés à l'embarquement du vol 8969 d'Air France, à Alger, en décembre 1995. Vol qui fit l'objet, on s'en souvient, de la dramatique prise d'otages à Marseille. En fait, comme 271 personnes avaient réservé une place dans cet avion, il fut initialement annoncé ce nombre comme étant celui des otages. Or, enfin d'après-midi du jour fatal, on apprenait que la compagnie aérienne française révisait à la baisse le nombre de passagers à bord, une quarantaine d'entre eux ayant raté le vol ! ».
Attentat et numérologie
De très nombreux numérologues amateurs et professionnels ont constaté que l'attentat du World Trade Center était placé sous le signe du nombre 11. En plus du jour lui-même (11), ils ont relevé que :
- le 11 septembre est le 254ème jour de l'année, soit 2 + 5 + 4 = 11
- l'avion qui a percuté la première tour était le vol n°11
- le nom de la ville New York City comporte 11 lettres
- l’État de New York est le 11ème des États-Unis
- la date de l'attentat (11 septembre) s'écrit 9-11 en transcription américaine, ce qui donne l'indicatif téléphonique des secours d'urgence (911).
Toutes ces coïncidences sont-elles dues au hasard ou bien s’agit-il de signes du destin ?
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MYSTÈRES DE LA VIE ORDINAIRE
DOSSIER N°8
L’exploit aérien qu'Adrienne Bolland
a réussi grâce à une entité spirite !
Par Guy Tarade et Jacques Mandorla
La Française Adrienne Bolland (1895-1975) fut la première aviatrice au monde à traverser la Manche en 1920 et surtout à franchir la Cordillère des Andes en 1921. Grâce aux conseils avisés… d'une médium !
Adrienne Bolland a réalisé l'exploit fantastique de passer au-dessus de la Cordillère des Andes, seule en avion, alors qu'elle n'avait que 26 ans !
Au début du XXe siècle, la Cordillère des Andes, monde inconnu, n'a jamais été prospectée par les topographes : à cette époque, en effet, aucune carte n'existe de ces lieux terriblement inhospitaliers. Tenter une telle aventure, à bord d'un avion Caudron G.3 datant de la Première Guerre mondiale, est une pure folie, pour ne pas dire un suicide.
Avant le vol d'Adrienne Bolland, pilote d'essais chez Caudron, cinq aviateurs ont trouvé la mort en voulant tenter la traversée de cette muraille montagneuse. Désireuse d’être la première à réussir cet exploit, elle veut faire mieux que ces « macchabées de la Cordillère des Andes » et supplie le propriétaire de sa compagnie, René Caudron ; de l'envoyer là-bas, « juste pour voir » !
Une étrange visiteuse à l'hôtel
La veille de son décollage, à Mendoza en Argentine, aux pieds de la Cordillère, tous les amis d'Adrienne s'efforcent de la dissuader d'aller risquer sa vie dans une aventure sans lendemain. Voulant se concentrer et surtout échapper pour quelques heures à ces pressions, elle condamne la porte de sa chambre d’hôtel pour pouvoir se reposer.
Une visiteuse parvient cependant à la rencontrer sans que l’on sache comment elle a pu convaincre Adrienne de lui ouvrir sa porte.
L'aviatrice trouve alors, en face d'elle, une dame d'origine française, d'un âge respectable et paraissant exaltée, qui lui dit : « Je suis venue pour vous donner un conseil. Lorsque vous survolerez les abords de la Cordillère des Andes, vous vous trouverez engagée face à une longue vallée. À un certain moment, vous surplomberez un lac ayant la forme d'une huître. Là, si vous continuez dans la vallée qui va vers la droite, vous n'en reviendrez jamais vivante. Mais si vous virez à gauche, vous parviendrez face à des sommets paraissant infranchissables. Ne craignez rien : dirigez-vous vers ceux ayant la forme d'un dossier de chaise retourné. Vous découvrirez alors une brèche. N'hésitez pas : passez-y et tout ira bien ».
Le Caudron G.3 utilisé par Adrienne Bolland pour son exploit.
Une prédiction entièrement réalisée
Adrienne Bolland, qui est tout à son vol, congédie l'illuminée, mais reste quand même sous le coup d'une curieuse impression. Le lendemain 1er avril 1921 (il ne s’agit pas d’un canular !), à l'aube, elle décolle du terrain d'aviation de Las Tamarindos, en laissant au sol ses amis, persuadés de ne plus jamais la revoir.
Elle survole la longue vallée encaissée, que cinq ou six pilotes seulement, avant elle, ont déjà empruntée. Tout à coup, elle sursaute : sous son avion, un lac en forme d'huître brille sous les rayons du soleil matinal ! Très troublée, elle repense à sa visiteuse de la veille. Sans hésiter, délaissant la vallée qu'elle comptait pourtant suivre, elle vire sur sa gauche vers le mur des hauts sommets qui semblent lui barrer la route. Transpercée par un froid terrible, elle pense à s'envelopper de papier journal pour éviter l'engourdissement.
En s'approchant, elle découvre une cime qui a étrangement la forme... d'un dossier de chaise retourné et se dirige vers elle. Adrienne a alors la surprise de voir la brèche indiquée par sa visiteuse : elle s'y engage, se retrouve au-dessus des pentes descendantes du versant opposé, puis se laisse glisser jusqu'à Santiago du Chili. Elle a réussi le pari d’être le premier homme (femme !) à franchir la Cordillère des Andes après 3h 15 mn de vol réalisé à la vitesse de 50km/h et dans des conditions extrêmes. L’appareil n'offrait aucune protection contre les éléments : ainsi, pour se protéger du froid, elle doit rembourrer sa combinaison de papier-journal et envelopper ses doigts de papier-beurre !
Pour franchir la montagne, l’appareil a été obligé de monter à 4 500 m d'altitude, alors que son plafond était de 4 000 m !
L’exploit d’Adrienne Bolland immortalisé par le peintre Bernard Lengert en 2009.
On frôlera même l’incident diplomatique : prévenu de l'exploit de sa jeune compatriote, le consul de France à Santiago ne se dérange même pas pour l'accueillir. Compte tenu de la date, il a cru à un poisson d'avril !
De retour en Argentine, Adrienne n’a plus qu’une hâte : retrouver sa précieuse conseillère. Elle est, en effet, troublée par l'exactitude des renseignements qui lui ont valu la réussite et veut absolument savoir de qui son étrange visiteuse tient tant d'informations exactes sur ces sommets inviolés et considérés comme totalement inconnus.
Adrienne finit par connaître l'explication
Quand elles se rencontrent à nouveau quelques jours plus tard, la dame lui fait alors cette curieuse réponse : « Personne, que je sache, ne connaît la Cordillère des Andes : mais je fais partie d'un groupe de médiums. Nous nous sommes intéressés à votre voyage qui, tout à la fois, passionnait et inquiétait l'opinion. Lors d'une séance de spiritisme, une de nos amies, guidée par une entité, nous a ordonné de vous transmettre ces renseignements et c'est moi qui me suis portée volontaire pour vous contacter ».
Peu de mois avant sa mort, survenue le 18 mars 1975, à l’âge de 80 ans, Adrienne Bolland, femme solide et équilibrée, a toujours soutenu avoir été fort troublée par cette incroyable aventure, elle qui affirmait : « C'est l'aviation qui m'a fait découvrir mon royaume intérieur ».
Adrienne Bolland est enterrée dans le cimetière de Donnery dans le Loiret où elle a passé les dernières années de sa vie.
Sa mémoire a été honorée par un timbre-poste relatant son exploit, sorti par La Poste le 23 octobre 2005.
Enveloppe Premier Jour comportant un timbre original, éditée par La Poste en 2005 et rappelant le fantastique exploit réalisé par Adrienne Bolland.
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DOSSIER N°7
MYSTÈRES DE LA VIE ORDINAIRE INDIVIDUELLE
par RANKY
Ce sont les mystères les plus palpables car ils vous concernent personnellement. Cette fois-ci, c’est vous qui recevez les “ messages”. Et vous ne pouvez pas en douter : il s’agit d’une réalité, même si vous ne voulez pas l’admettre publiquement, de peur d’être un peu ridicule.
Il existe souvent une corrélation instantanée entre deux personnes, une similitude de pensée à la même seconde ou un phénomène télépathique. Par exemple, vous avez perdu de vue un membre de votre famille ou un ami depuis de nombreuses années et vous vous dites que vous devriez tout de même lui donner de vos nouvelles, ou prendre des siennes. Au même instant, le téléphone sonne et cette personne vous appelle. Cette réalité télépathique fonctionne constamment sans qu’il soit possible d’en prouver la réalité, en l’absence de support matériel.
C’est le cas de la maman ou du grand-père qui voit d’un très mauvais oeil la sortie du fils ou du petit-fils à moto, pressentant un accident qui confirme souvent leurs craintes. C’est aussi le cas de l’enfant qui ressent la mort de son père ou de sa mère à des centaines de kilomètres.
En amour, le “coup de foudre” peut être considéré comme un véritable phénomène Psi. Toute raison est absente de cette attirance instantanée, irréfléchie d’un individu pour un autre. Cette rencontre fondamentale s’éloigne totalement du rationnel. Il s’agit de la reconnaissance immédiate et simultanée de deux personnes, et ce avec une extraordinaire précision. Elle relève de l’extra-sensorialité à tel point que les deux amoureux affirment souvent n’être qu’une seule et même personne.
Et surtout ne croyez pas, comme le suggèrent les feuilletons romanesques, qu’il ne s’agit que d’un “feu de paille”. Il est démontré que les couples ainsi formés connaissent une attraction amoureuse bien plus puissante et durable que les autres, parfois pour toute une vie.
Nous n’en finirions pas de répertorier ces messages qui nous parviennent sans canal matériel, simplement par une communication impalpable, non reproductible, qui échappe à toute explication scientifique ou rationaliste.
Les phénomènes parapsychologiques ne seraient-ils pas des signes, de subtils messages d’espoir envoyés par le Créateur, destinés à notre minuscule personne, pour nous rappeler sans cesse notre appartenance indissociable à l’Univers ?
Qu’en pensez-vous ?
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DOSSIER N°6
Les phénomènes étranges ou le réalisme fantastique de Charles Fort (partie 2)
Par Jacques Mandorla
Auteur du livre "66 tests pour développer vos capacités paranormales"
Éditions Trajectoire
Voici la suite du florilège des observations de phénomènes étranges que Charles Fort a consignées dans son ouvrage "Le Livre des Damnés" et concernant des apparitions dans le ciel, des roues lumineuses sur ou sous l'eau et de mystérieuses empreintes de pas laissées en 1855 dans le Sud-Ouest de l'Angleterre par celle qu'on a appelé "la bête du Devonshire".
Phénomènes dans le ciel
Novembre 1821 : avec son télescope, l’astronome Rankin voit une lumière fixe et tenace sur le côté sombre de la Lune.
22 mars 1870 : extrait du journal de bord du navire Lady of the Lake, écrit de la main du capitaine F.-W. Banner. À la latitude 5° 47' Nord et longitude 27° 52' Ouest, les marins virent en plein ciel un objet ou « un nuage » remarquable et le signalèrent à leur capitaine. D'après Banner, c'était un nuage de forme circulaire, avec un demi-cercle inscrit divisé en quatre parties, le trait de division commençant au centre du cercle et s'étendant vers l'extérieur, puis se recourbant en arrière. Géométricité, complexité et stabilité de la forme : il y a peu de chances pour qu'un nuage maintienne pareille diversité de traits, pour ne pas mentionner l'aspect de la forme organique. L'objet évoluait d'un point situé à 20 degrés au-dessus de l'horizon, jusqu'à un autre situé à 80 degrés. Puis il se dirigea vers le Nord-Ouest, alors qu'il était venu du Sud-Ouest. Il était gris clair, soit couleur de nuage. Beaucoup plus bas que les autres nuages. Et surtout ce détail : quoi qu'il ait pu être, il se déplaçait contre le vent. Il se présenta obliquement par rapport au vent, puis se décida à filer droit dans l'œil même du vent. La forme fut visible pendant une demi-heure. Lorsqu'elle disparut finalement, ce n'était pas pour être désintégrée comme l'aurait fait un nuage, mais à cause de la tombée de l'obscurité. Le capitaine Banner a dessiné le diagramme suivant :
23 mars 1877, à Vence (Alpes-Maritimes) : des boules de feu presque aveuglantes, issues d’un nuage et se déplaçant avec une lenteur relative pendant plus d’une heure, se dirigent ensuite vers le Nord.
9 août 1877 : monsieur de Rostan à Bâle voit un corps en forme de fuseau, large de 3 doigts et long de 9, avancer lentement en travers du disque solaire. Il disparaît le 7 septembre, ce qui indique qu’il était à la fois loin de la Terre et du Soleil. J’incline à penser à un super-zeppelin.
5 novembre 1883, au Chili : un objet lumineux de la taille d’une pleine Lune est visible pendant une heure et demie.
20 décembre 1893 : un corps lumineux traversa la Virginie, la Caroline du Nord et la Caroline du Sud, d'ouest en est; à 15° au-dessus de l'horizon, il resta immobile un quart d'heure durant. Il ressemblait, dit-on, à une énorme roue blanche, et pour écarter toute possibilité d'une illusion d'optique, on rappelle que le bruit de son passage dans l'air fut très remarqué. Au bout de vingt minutes, il disparut ou explosa dans le plus grand silence.
24 février 1904 : sur le navire américain Supply, trois membres d’équipage aperçoivent 3 objets lumineux de tailles différentes, le plus large ayant un diamètre de 6 soleils, qui se manifestent au-dessous des nuages à une faible hauteur, estimée de 2 kilomètres. Ils s’enfuient d’un seul mouvement dans les nuages.
Octobre 1911 : des astronomes voient des taches extrêmement brillantes sur le disque de Mars.
27 juin 1912 : le docteur Harris voit un objet intensément noir, de 400 km de long sur 50 de large, se détacher sur le disque lunaire. On aurait dit un corbeau perché sur la Lune.
Roues lumineuses sur ou sous l’eau
18 juin 1845 : à bord du brigantin Victoria, à 1 300 kilomètres d'Adalie, en Asie Mineure (aujourd’hui Turquie), on voit trois corps lumineux sortir de l'océan à 40 mètres du navire et rester visibles dix minutes durant.
15 mai 1879, 21h40, dans le golfe Persique : le capitaine Evans, hydrographe de la marine anglaise, signale que le commandant Pringle, du navire Vulture, a remarqué des ondes lumineuses ou des pulsations aquatiques se déplaçant à grande vitesse. Précision appréciable, il souligne que les ondes lumineuses passèrent sous le Vulture. Les ondes de lumière s'étendaient de la surface aux profondeurs marines. Le commandant Pringle estime que les objets avaient 40 mètres de large, étaient espacés de 150 mètres, et se déplacèrent à 80 kilomètres à l'heure pendant 35 minutes. Après leur passage, le bateau traversa de larges nappes d'une substance flottante qui ressemblait à des bancs de frai huileux.
Mai 1880 dans le Golfe Persique : le Patna, un steamer de la Compagnie des Inde s Britanniques, fit une étrange rencontre. La nuit était sombre quand, tout à coup, le capitaine Avern et deux de ses hommes virent apparaître, de chaque côté du navire, deux énormes roues lumineuses tournant sur elles-mêmes et dont les 16 rayons paraissaient frôler le navire au passage. Ces rayons mesuraient de 200 à 300 mètres de long. Les roues ont escorté le navire 20 minutes durant.
5 juin 1880, au large de la côte de Malabar (littoral ouest de l’Inde) : le commandant Harris, du vapeur Shahjehan, vit, à dix heures du soir, sur une mer calme et par un ciel sans nuage, un objet si étrange qu'il fit arrêter son navire. Il décrit des vagues entre-espacées de lumière brillante et une substance non identifiable flottant sur les eaux : elle n'illuminait rien, mais semblait éclairée, avec le restant de la mer, par de gigantesques rayons lumineux. Onde sur onde se succédaient en l'un des spectacles les plus grandioses et les plus solennels qui se puisse imaginer. Les ondes avaient trois mètres d'écartement. Les rayons semblaient provenir des profondeurs marines.
4 avril 1901, dans le golfe Persique : à 8 heures 30 du matin, le capitaine Hoseason, du vapeur Kilwa, voguait en pleine mer. L'eau n'était pas phosphorescente. Soudain de vastes ondulations lumineuses apparurent à la surface des eaux. Elles n'émettaient qu'une faible lumière et s'éteignirent au bout d'un quart d'heure environ, après avoir évolué à dix kilomètres à l'heure. On incrimina cette fois des bancs de méduses.
Aperçus inquiétants sur la bête du Devonshire
Le 16 février 1855, le Times rapporte une étonnante information : « Une sensation considérable a été provoquée dans les villes de Tapsham, Lympstone, Exmouth, Teignmouth et Dawlish, au sud du Devon, causée par la découverte le 8 février 1855 d'une incroyable quantité d’empreintes de formes étranges et mystérieuses ».
Charles Fort relate cet événement sous le titre "Aperçus inquiétants sur la bête du Devonshire", en disant que, pour faire bonne mesure, la rumeur publique parle de l’hypothèse d’un kangourou et en ajoutant : " Je tiens qu’il n’aurait pas fallu moins de 1 000 kangourous unijambistes, tous ferrés d’un sabot minuscule, pour laisser dans la neige les empreintes du Devonshire (au Sud-Ouest de l'Angleterre)".
Charles Fort poursuit : "On en retrouva dans les endroits les plus imprévus : jardins enclos par de hautes murailles, rase campagne et toits de maisons. On dit que les empreintes étaient en général à 25 cm les unes des autres. L’empreinte du pied ressemble de très près au sabot d’un âne et mesure 4 cm, parfois 6. Le professeur Richard Owen (célèbre paléontologue, créateur du mot "dinosaure" en 1842), parle de traces laissées par des blaireaux. D’autres parlent de loutre, de rat ou de crapaud sauteur… Et même des sabots du Diable ! Mais, en feuilletant les annales du London Times du 14 mars 1840 (donc 15 ans auparavant), j’ai trouvé la mention suivante : « Dans les hautes montagnes du district de Glenorchy, Glenyon et Glenochay, on a relevé durant deux hivers de suite des empreintes d’un animal jusque-là inconnu dans toute l’Écosse. Ces traces ressemblent à celle d’un poulain effrayé qui ferait des bonds ».
Commentaire
À ce jour, aucune explication scientifique n’a été apportée à ce mystère : qu’est-ce qui a bien pu laisser des traces sur plus de 100 kilomètres, comme faites par un être qui serait unijambiste, traces s'arrêtant parfois au pied d'un mur pour se poursuivre juste derrière, sans laisser la moindre marque sur celui-ci, ou bien gambadant sur les toits des maisons ?
Jacques Mandorla
Appel aux blogueurs !
Avez-vous une hypothèse personnelle sur ce qui, en 1855 dans le Devonshire, a bien pu laisser dans la neige ces traces qui se suivent de façon rectiligne ?
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DOSSIER N°5
Les phénomènes étranges ou le réalisme fantastique de Charles Fort (partie 1)
Par Jacques Mandorla
Dans le dossier n°3, nous avons étudié différents phénomènes constatés dans le ciel de France : apparitions mystérieuses de croix ou déluges au contenu insolite. Suite à cet article, de nombreux blogueurs nous ont demandé de leur présenter de nouveaux cas, constatés dans le monde entier. Les voici !
Avant d’énumérer ces phénomènes, je pense qu’il est important de rendre préalablement hommage à ce chercheur infatigable qu’était Charles Hoy Fort.
L’écrivain américain Charles Fort (1874-1932) est incontestablement le créateur de ce qu’on peut appeler aujourd’hui le « réalisme fantastique », genre qu'il a créé et présenté dans son premier ouvrage « Le Livre des Damnés », publié en 1919 aux USA.
À noter que Louis Pauwels et Jacques Bergier seront, en France, les dignes héritiers de Charles Fort avec la publication en 1960 de leur livre, devenu culte : « Le matin des magiciens ». Les deux ouvrages ont tellement de points communs que certains n’ont pas hésité à reprocher aux deux auteurs français d’avoir outrageusement pillé le livre de Fort, rappelant au passage que « Le Livre des Damnés » a été publié, en 1955 en France, aux Éditions Les Deux Rives, dans une collection dirigée par… Louis Pauwels et avec une préface de… Jacques Bergier !
En 1908, à l’âge de 34 ans, Fort cesse de s’occuper de journalisme et de taxidermie (empaillage d’animaux morts) pour se consacrer à temps plein à la compilation, dans les archives de la presse internationale, de phénomènes bizarres : pluies d’animaux, apparitions de roues lumineuses dans les océans, chute lente de météorites ultra-légères, observations d'engins volants non identifiés (les termes d’ufo et d’ovni n’existaient pas encore)...
La philosophie de Charles Fort (qualifiée aujourd’hui de « fortéenne ») est très bien définie par l’auteur dans la préface de son livre : « Une procession de damnés. Par les damnés, j'entends bien les exclus. Nous tiendrons une procession de toutes les données que la Science a jugé bon d'exclure… Peut-être suis-je le pionnier d'une littérature à venir dont les traîtres et les héros seront des raz-de-marée, des étoiles, des scarabées et des tremblements de terre… Nous vivons une quasi-existence, dans un état intermédiaire entre le réel et l'irréel ».
Charles Fort, dans son petit appartement du Bronx, est submergé de boîtes en carton qu’il remplit de fiches manuscrites dont le nombre, après 8 années de travail de bénédictin, finit par atteindre le chiffre astronomique de 25 000 ! Puis, un matin de 1916, dans une véritable crise de doute, il brûle tout car il estime ce matériel douteux ! Mais, quelque temps plus tard, il décide de recommencer sa récolte de faits étranges écartés par la science officielle, en ayant une approche encyclopédique. Pour cela, il va fréquenter assidûment la Bibliothèque Municipale de New York et le British Museum de Londres. Résultat : il va, cette fois, rassembler 40 000 notes réparties en 1 300 rubriques différentes.
Trois ans plus tard sort « Le Livre des Damnés » qui synthétise tout son travail de rat de bibliothèque. Les critiques de son ouvrage se répartissent alors sur un spectre très large : « Une des monstruosités de la littérature », « La plus grande figure littéraire depuis Edgar Poe », « Lire Charles Fort, c’est chevaucher une comète »…
En 1931, il publie son troisième livre (il en écrira 4 en tout au cours de sa carrière) intitulé « Lo ! », dans lequel il traite d’un nouveau phénomène pour lequel il invente le mot « téléportation », terme qui sera ensuite repris par la plupart des auteurs de science fiction et qui est aujourd'hui incontournable !
Florilège de faits étranges relevés par Charles Fort
Pluies bizarres
1768, à Lucé (Orne) : une pierre brûlante découverte au sol. Le chimiste Antoine Lavoisier dira, après expertise l’année suivante, qu’il s’agit d’une pierre frappée par la foudre, et ajoutera : « Il n’y a pas de pierres dans le ciel, donc des pierres ne peuvent tomber du ciel » !
13 août 1819 à Amherst (Massachussets, USA) : le professeur Dewey entend une explosion, suivie d’une grande lumière puis aperçoit le lendemain, dans la cour de sa maison, un objet en forme de bol de 15 cm de diamètre sur 3 cm d’épaisseur, recouvert d’un fin duvet jaune vif ayant la consistance de la mousse de savon et répandant une odeur forte, presque suffocante.
1832, à bord du bateau Beagle, à l’embouchure du Rio de la Plata (entre l’Uruguay et l’Argentine), le célèbre naturaliste anglais Charles Darwin voit un grand nombre d’araignées traverser les airs à vive allure comme autant de minuscules aéronautes, accrochés à ces filaments qu’on nomme « fils de la vierge ».
30 juillet 1838, à Londres : chute de petites grenouilles en plein centre de la capitale anglaise.
Août 1849 à Ord (Ecosse) : chute d’un bloc de glace de 6 mètres de circonférence.
28 décembre 1860 à Sienne (Italie) : à 7h du matin, dans le nord-ouest de la ville, s’est abattue une pluie rouge qui tombe pendant deux heures d’affilée. Une seconde averse a lieu à 11h, une autre 3 jours plus tard, une dernière le 4e jour. Mais chaque averse était tombée sur le même quartier de la ville !
30 juin 1869 en Haute-Savoie : l’astronome français Camille Flammarion relève une pluie de nombreuses larves de scarabées pendant une tempête de neige rt annonce : « Elles n’avaient pas pu éclore dans la région car, les jours précédents, la température avait été extrêmement basse ».
Octobre 1886, à Charlotte (Caroline du Nord, USA) : pendant 3 semaines de suite, tous les jours entre 4h et 5h, que le ciel soit clair ou nuageux, une précipitation en forme de pluie tombe entre deux arbres situés au coin de la 9e rue et de la rue D. Voici atteintes les profondeurs de l’inadmissible.
Montana (USA), hiver 1887 : chute de flocons de neige de 38 cm de long sur 20 cm d’épaisseur !
Archéologie
1852 à Ninive (Mésopotamie, aujourd’hui Irak) : l’archéologue anglais Austin Layard découvre, dans les ruines d’un palais assyrien, une lentille optique en cristal de 3,8 cm de diamètre. À des millions de kilomètres dans l’espace, quelqu’un déploie un télescope et la lentille s’en détache.
Prochain article de la série « MYSTÈRES DE LA VIE ORDINAIRE » : DOSSIER N°5 - Les phénomènes étranges ou le réalisme fantastique (partie 2) = les apparitions lumineuses dans le ciel, sur ou sous l'eau et "Aperçus inquiétants sur la bête du Devonshire".
Jacques Mandorla est l'auteur du livre "66 tests pour développer vos capacités paranormales"
Éditions Trajectoire
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DOSSIER N°4
MYSTÈRE DE LA VIE ORDINAIRE
DES PLANTES
par Ranky
Des dizaines de milliers de personnes pourraient le confirmer : les plantes que l’on arrose, que l’on essuie, dont on caresse les feuilles, auxquelles on parle, deviennent plus fortes, plus belles. Il semblerait donc que les plantes reçoivent des informations et réagissent aux émotions de ceux qui les soignent. Pourtant, elles n’ont pas de cerveau. Les plantes respirent sans poumons, se nourrissent sans système digestif et bougent sans muscles. Elles voient aussi sans yeux puisqu’elles réagissent à la lumière solaire, lunaire et même artificielle. Les plantes entendent également sans oreilles. Des expériences ont prouvé que dans une ambiance prolongée de musique classique elles poussent en direction de la source musicale. Encore plus extraordinaire, dans une ambiance musicale agressive comme la musique pop ou rock, elles se développent dans la direction opposée à la source sonore.
Dans une atmosphère de maladie humaine, les plantes dépérissent. Peut-être répondent-elles à des stimulus sans système nerveux ? Quelle est donc cette étrange relation entre l’homme et le végétal ? Les scientifiques enregistrent ce comportement mystérieux sans pouvoir l’expliquer.
Et pendant ce temps, ceux qui ont la “main verte” continuent à parler à leurs plantes, comme à des êtres humains, cela leur “fait du bien”, et les effets sont parfaitement mesurables.
UNE EXPERIENCE FACILE A REALISER
1) Remplissez deux pots de terreau provenant du même sac.
2) Semez dans chacun de ces pots des grains de blé, des graines de fleurs ou d'un végétal à développement rapide, comme par exemple l'herbe à chat.
3) Posez les deux pots l'un près de l'autre et veillez à ce qu'ils demeurent dans les mêmes conditions de lumière, de température et d'arrosage.
4) Magnétisez chaque jour le même pot et pas l'autre. Il suffit pour cela de placer pendant cinq minutes vos mains au dessus du pot choisi. Vous constaterez que celui-ci poussera deux fois plus vite que l'autre.
Ranky
Appel aux blogueurs !
N'hésitez pas à nous communiquer vos témoignages ou expériences personnelles.
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DOSSIER N°3
Étranges phénomènes dans le ciel de France !
Par Jacques Mandorla
Dès leur apparition sur Terre, les hommes ont très vite tourné leur regard vers le ciel, où de nombreux phénomènes n'ont cessé de les captiver, mais aussi de les effrayer. Et la France ne fut pas épargnée !
Notre pays semble, en effet, avoir été soumis à des apparitions mystérieuses de croix ou à des déluges au contenu insolite, dont la plupart, rapportent les chroniques, eurent lieu sous un ciel clair et sans nuage !
Un inventaire à La Prévert
En avril 1842, une pluie intense s'abat au même endroit sur Noirfontaine (Doubs), par beau temps et pendant deux jours entier ! Le 10 décembre 1903, des pluies parfumées au goût de lavande tombent sur Oudon (Loire-Atlantique) et, le 1er juin 1942, de la grêle au goût d'orange à Nîmes (Gard) !
Des chutes célestes d'animaux, dont les variétés permettraient d'ouvrir un zoo d'origine cosmique, sont signalées un peu partout : des bébés crapauds en août 1804 à Toulouse (Haute-Garonne) ; des crapauds adultes le 23 juin 1809 à Poitiers (Vienne) ; des alouettes, cailles, canards, poules d'eau, dont certains volatiles encore vivants, mêlés à une terrifiante pluie rouge couleur de sang le 16 octobre 1846 à Grenoble (Isère) ; des larves de scarabées, mortes de froid, en mai 1858 à Mortagne (Vendée) ; des larves de fourmis sans ailes le 21 juillet 1887 à Nancy (Meurthe-et-Moselle) ; d'énormes mouches noires le 18 août 1880 au Havre (Seine-Maritime)...
Des chutes de feuilles mortes au printemps (et non, comme il faudrait s'y attendre, en automne) le 10 avril 1869 par un jour sans vent à Autrêche (Indre-et-Loire) !
Des pluies de matières inconnues : une sorte de laine très grasse en l'an 371 à Arras (Pas-de-Calais) dont on conserva une trace sous la forme d'une relique appelée Sainte Manne, dans la cathédrale de la ville ; des flocons blancs et laineux de la taille d'un poing le 16 octobre 1883 à Montussan (Gironde) ; de la matière gélatineuse, fondant dans la main, le 17 octobre 1952 à Oloron-Sainte Marie (Pyrénées-Atlantiques).
Et, pour couronner le tout, un véritable cadeau du ciel tombé en 1957 sur la ville de Bourges (Cher), sous la forme d'une pluie de milliers de billets de 1 000 francs belges chacun (soit environ 10 francs français de l’époque et 1,50 euro d'aujourd'hui), comme si un touriste d'outre-Quiévrain s'était amusé, à partir d'un avion, à lâcher sur la ville ce surprenant pourboire céleste !
En 1957, sur la ville de Bourges (Cher) sont tombés du ciel des milliers de billets de 1 000 francs belges !
Apparitions de croix lumineuses
Elles sont relatées depuis 1 700 ans : ainsi, la première à avoir été mentionnée est celle que l'empereur Constantin, en l'an 312 après J.-C., aperçut dans le ciel juste avant de remporter la bataille du Pont Milvius contre Maxence. l'empereur révèle avoir vu une croix dans le ciel entourée des mots "Par ce signe, tu vaincras". Cette vision déclenchera la conversion de Constantin à la religion chrétienne.
Des apparitions du même type ont aussi été signalées en France. Ainsi, vers 650, saint Ouen, perdu dans les marais normands, voit une croix de lumière lui indiquer son chemin. Plus tard, on nommera l'endroit : La Croix-Saint-Leufroy (Eure).
Le 20 août 1451, lors du siège de Bayonne, le général Dunois et son armée voient dans le ciel une croix blanche surmontée d'une fleur de lys. Heureux présage : le lendemain, ils battent les Anglais ! En souvenir de cet événement, Charles VII fera même frapper une médaille.
Le 17 décembre 1826, à Migné-Auxances (Vienne), 2 000 pèlerins aperçoivent, vers 17 heures, à la quasi verticale de l'église, une croix lumineuse longue de 40 mètres qui stationnera pendant une demi-heure à 35 m de hauteur : ce souvenir céleste est fêté, depuis, par une procession annuelle !
Apparition d'une roix lumineuse au-dessus de l'église de Migné le 17 décembre 1826.
Et, dans cette liste de signes dans le ciel, nous n'avons pas mentionné les manifestations d'objets volants non identifiés (ovni) dont nous parlerons plus en détail un jour prochain !
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DOSSIER N°2
MYSTERES DE LA VIE ORDINAIRE
DES GROUPES HUMAINS.
par Ranky
Certains groupes humains, des clans, des familles semblent frappés d’une malédiction héréditaire se transmettant de génération en génération. Ces malédictions, attachées à des personnes ou à des lieux, semblent soumises à des forces obscures inexplicables. Certains êtres humains, tout comme certains lieux portent malheur. Lorsque les deux facteurs sont réunis, il s’ensuit de véritables hécatombes.
Une maison du crime (carte postale DR)
Le théâtre d’une histoire particulièrement dramatique se situe dans une maison ancienne de province. Ce pavillon un peu délabré était un ancien bistrot de campagne où eurent lieu quelques faits meurtriers comme il peut s’en passer dans n’importe quel bouge rempli d’ivrognes. Jusque-là, il n’y a rien de bien extraordinaire, mais les drames commencèrent dès l’achat de cette maison par de nouveaux propriétaires. A peine installés, ils contractèrent une terrible maladie. Pour tenter d’atténuer sa souffrance, la femme acheta deux oiseaux. Ceux-ci furent retrouvés morts un matin. Le mois suivant, un petit chien bâtard apparemment en excellente santé mourut lui aussi. La famille adopta un berger allemand. Il fallu le piquer pour une maladie dont les causes ne furent pas bien déterminées. Puis vint le tour d’un labrador qui connut le même sort. La famille prit des animaux plus petits. Tout d’abord un hamster, puis un lapin nain, des chats également. Tous moururent mystérieusement. Certes, on pouvait se demander si les animaux n’étaient pas en fait victimes de manque de soins et de noiurriture. J’installai moi-même dans le jardin une cage pour accueillir deux superbes pigeons paons, veillant à ce que les mangeoires et les distributeurs d’eau fussent propres et bien remplis. Peine perdue : les deux volatiles moururent à quelques jours d’intervalle. Nous offrîmes à la famille une tortue de terre. Elle mourut dans l’année. Même les poissons rouges furent retrouvés le ventre en l’air dans l’aquarium.
La série ne s’arrête malheureusement pas là. La propriétaires des lieux décéda en Août 1985. Son fils âgé de vingt-cinq ans se tua dans un accident de voiture lors d’une permission militaire.
Un soir une pocharde tambourina aux volets pour réclamer du vin. Le propriétaire de la maison la rabroua ; la femme s’éloigna en proférant des menaces graveleuses.
- Vous crèverez sur le bord de la route, hurlait-elle. Vous crèverez tous dans cette baraque maudite.
Le lendemain matin, on retrouva le corps de cette femme sans vie, à un kilomètre à peine de la maison. Très éprouvé, le propriétaire du pavillon eut un malaise dans sa baignoire et échappa de justesse à la noyade. Les enfants quittèrent la maison et quelques mois plus tard, le père décéda.
Paul KAMMERER Biologiste 1880-1926 (photo DR)
Ce que le biologiste Kammerer baptisa la “ sérialité” et que nous dénommons plus communément la “loi des séries” soulève des problèmes très mystérieux. Chaque individu, au cours de son existence, a déjà remarqué ces enchaînements d’évènements, sans rapport les uns avec les autres. Le plus souvent nous les attribuons au hasard et ces coïncidences amusent souvent celui qui en est le suujet. Par exemple, lorsqu’au jeu un numéro sort deux fois de suite, le joueur lance : “Eh bien, jamais deux sans trois”. Bien souvent, le chiffre sort une troisième fois. C’est alors qu’on regrette de ne pas avoir persisté à le jouer, en se disant : “Si j’avais suivi mon idée, j’aurai gagné” !
Mais si l’on désire observer ce phénomène de la “loi des séries” avec sérieux on relève des faits indiscutables et inexpliqués. Une encyclopédie pourrait être écrite sur ces coïcidences dont certaines sont devenues célèbres. La revue Métapsychique de 1937 cite le cas de Jeanne Valérie Laneau. Celle-ci avait été engagée par le sculpteur Emmanuel Frémiet pour servir de modèle à la statue de Jeanne d’Arc qui se trouve Place des Pyramides à Paris. Elle mourut en 1936, brûlée vive dans sa chambre. Dans l’encyclopédie Planète de 1967, Georges Langelaan raconte que le 25 Novembre 1911, trois hommes furent condamnés pour le meurtre de Edmund Berry Godfrey dans sa résidence de Greenberry Hill, près de Londres. Ils s’appelaient respectivement Green, Berry et Hill.
KENNEDY (Photo DR)
Un cas historique décrit à maintes reprises dans de nombreux magazines concerne la malédiction qui pèse sur la Maison Blanche. Depuis 1840, aucun des présidents élus au cours d’une année se terminant par zéro n’a pu terminer son madat sans connaître de graves ennuis. Beaucoup ont connu une mort violente : William Harrisson, élu cette année-là, ouvre la série. Lincoln, élu en 1860, a été assassiné. Garfield, élu en 1880, également. Assassinés aussi, Mc Kinley, élu pour un second mandat en 1900, et Kennedy, élu en 1960. Harding, élu en 1920, mourut d’une crise cardiaque. Roosevelt (1940) de la polio et Reagan (1980) échappa miraculeusement à un attentat.
La synchronicité, selon le terme consacré par le psychanaliste Jung et le physicien Pauli, consiste en une succession de coïncidences qui relient des êtres ou des événements sans lien de cause à effet.
Celle-ci est particulièrement marquante entre les deux présidents Lincoln et Kennedy. Leur vie et leur mort présentent des similitudes à peine croyables. Abraham Lincoln fut élu président des Etats-Unis en 1860 et John Kennedy en 1960, à cent ans d’intervalle. Tous les deux furent assassinés un vendredi et en présence de leur épouse, tous deux tués d’une balle dans la tête tirée par derrière.
LINCOLN (Photo DR)
Le successeur de Lincoln s’appelait Andrew Johnson, il était démocrate du Sud, sénateur, né en 1808, et décéda dix ans après Lincoln. Le successeur de Kennedy s’appelait Lyndon Johnson, il était démocrate du Sud, sénateur, né en 1908, et décéda dix ans après Kennedy.
L’assassin de Lincoln, John Wilkes Booth était né en 1839. Il tua le président américain dans un théâtre et se cacha dans un entrepôt. Il fut lui-même tué avant d’être jugé. L’assassin de Kennedy, Lee Harvey Oswald, était né en 1939. Il tua le président américain en tirant depuis un entrepôt et se cacha dans un cinéma. Il fut tué lui aussi avant d’être jugé.
La femme du président Lincoln perdit un enfant pendant son séjour à la Maison Blanche. La femme du président Kennedy perdit également un enfant dans les mêmes circonstances.
Le mystère de cette synchronicité s’épaissit encore lorsque l’on constate que la secrétaire de Lincoln s’appelait Kennedy et qu’elle avait supplié le président de ne pas aller au théâtre alors que la secrétaire de Kennedy s’appelait Lincoln et qu’elle avait supplié le président de ne pas aller à Dallas.
Et puisqu’il existe aussi une synchronicité des lettres et des chiffres, il est remarquable de constater que les noms des deux présidents comportent chacun sept lettres, les noms de leurs successeurs treize lettres et ceux de leur assassin quinze lettres.
Cette synchronicité mériterait une étude beaucoup plus appronfondie puisque l’on trouve encore d’étranges similitudes comme le fait, entre autres, que John Kennedy se trouvait lors de son assassinat à bord d’une voiture de marque ... Lincoln.
Ranky
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DOSSIER 1
Mystères de la vie ordinaire collective
par Ranky
Les mystères ou phénomènes intriguent les hommes, même les sceptiques, depuis la nuit des temps. Prenons les pouvoirs de la lune : l'influence lunaire est indiscutablement admise par tous. Elle l'est par le scientifique qui étudie son attraction sur les marées, le jardinier qui constate que ses plantations se développent sous sa lumière, les amoureux dont les élans sont magnifiés, les médecins qui connaissent quelquefois des problèmes plus délicats lors des anesthésies, les psychiatres dont les patients présentent des comportements modifiés, la police qui constate une recrudescence de vols, viols, meurtres et crimes en tous genres les nuits de pleine lune.
La police découvre une victime de Jack l'éventreur (Journal de l'époque. 1888.)
La pleine lune réveille les fantasmes et les pulsions meurtrières. Elle est souvent présente dans d'horribles crimes qui défraient la chronique, telle la tuerie de Malesherbes dans le Loiret. À Londres, Jack l'éventreur tuait les femmes pendant les nuits de pleine lune. En 1956 par une nuit de pleine lune, le curé d'Uruffe étripa sa maîtresse enceinte pour sortir l'enfant de son ventre. L'affaire Dominici débuta une nuit de pleine lune. Les annales criminelles sont remplies de cas similaires.
Photo maxiscience.com
Comme la lune, les autres planètes ont des influences, certes moins spectaculaires pour le profane, mais tout aussi puissantes. D'où l'existence des astrologues, qui grâce à la périodicité des cycles planétaires, peuvent déceler les époques favorables de la vie d'un être humain. Depuis les débuts de l'astrologie avec les Babyloniens, démonstration est faite de l'influence des planètes sur chaque être. C'est ce qui fait parfois assimiler l'astrologie à quelque phénomène de voyance alors qu'il n'en est rien.
Un des principes de base de l'interprétation astrologique est l'ascendant, c'est-à-dire le signe zodiacal qui s'élève à l'orient à l'heure de la naissance. Lorsque l'on connaît son ascendant, on peut mieux éclairer certains points de caractère et de la destinée. Les membres de la famille ou les personnes auxquelles vous êtes lié par des rapports d'amitié appartiennent souvent à un signe correspondant à votre ascendant. Vous aurez avec eux des rapports durables, emplis de compréhension. Si un enfant naît sous le signe ascendant d'un de ses parents, il y aura entre eux une ressemblance physique et morale. L'ascendant marque aussi les caractéristiques physiques et les prédispositions à la maladie de l'individu.
Certains pseudo-astrologues jouissent d'une solide notoriété, mais n'arrivent souvent qu'à rebuter ceux qui souhaiteraient étudier l'astrologie rationellement. Les arguments à l'encontre de l'astrologie sont toujours formulés par des individus n'ayant jamais étudié cette science. Pourtant certains savants se sont constitués ses défenseurs : Jung, Einstein, Galilée, Copernic, Kepler, Newton.
L'astrologue n'est pas un devin, mais il est capable de calculer les périodes propices ou contraires à une entreprise. Est-ce à dire que le destin est tracé sans aucune possibilité de changement ? Certainement pas. L'étude astrologique est un révélateur de la personnalité qui comme chacun sait, peut être modifiée, modelée dans certaines conditions. Cette science ni plus ni moins exacte que certaines autres pourtant reconnues permet de réfléchir, de s'interroger, de prendre certaines décisions à la lueur d'un éclairage différent. L'astrologie permet de travailler sur des points auxquels on n'avait pas pensé. Que les détracteurs le veuillent ou non, l'astrologie est un outil précieux à condition de ne pas perdre de vue que chaque individu doit conserver son libre arbitre. Malheureusement, les recherches scientifiques ne se dirigent pas dans l'analyse de l'astrologie. Les savants se contentent d'en constater les effets ainsi qu'ils le font pour un nombre considérable de manifestations ayant une connotation magique. Concernant l'art des sourciers, par exemple, plusieurs dizaines d'expériences démontrent clairement que par les moyens traditionnels scientifiques la découverte de points d'eau fonctionne dans un tiers des cas, alors que les sourciers munis simplement d'un pendule ou d'une baguette de coudrier découvrent une source dans plus de 95% des cas.
Mais peut-être y a t-il pour ces hommes de science des phénomènes plus importants que ceux-là à étudier ?
11:16 Publié dans MYSTERES DE LA VIE ORDINAIRE | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Merci de ces récits fascinants.
J'apprécie beaucoup de retrouver tous ses faits regroupés par thème. En effet, j'ai les ai lus de façon dispersées dans différents livres, mais ici ils sont répertoriés, classés et présentés de façon vivante, claire et incontestable.
Merci Jacques, merci Ranki !
J'attends vos prochaines études avec plaisir et impatience.
Christiane
Écrit par : Christiane RIEDEL | 22/08/2013
Oups... une jolie faute d'orthographe me donne le plaisir de revenir dans mon commentaire précédent pour la corriger : de façon "dispersée".
Cela me donne l'agréable occasion de souligner encore tout le travail de recherche que vous avez fait pour rassembler ces témoignages, de telle sorte que ces histoires semblables ne peuvent plus être traitées en anecdotes douteuses mais prennent la force de témoignages "scientifiques". Pour les inconditionnels du rationnel, un fait peut être contesté, plusieurs devraient les obliger à se poser des questions. La réalité des faits multiples devient convaincante.
Écrit par : Christiane RIEDEL | 22/08/2013
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