19/07/2022
TEST DES FLEURS SÉCHÉES
Auteur de l'Encyclopédie du Mystère (Éditions Trajectoire)
Regardez bien cette photographie. Il s’agit du portrait de Julien, un membre de la famille de Ranky. Décédé en 1970, cet homme, doué d’une mémoire fabuleuse et d’un savoir immense, possédait un ascendant extraordinaire sur les personnes qui l’approchaient. Tout son être dégageait un magnétisme envoûtant et bénéfique. Cette photo est la dernière prise avant sa mort.
Le premier fait extraordinaire se produisit à peine un mois après le décès. Prenant quelques violettes, nous les avons placées près de la photo. En une dizaine de jours, ces violettes se sont immortalisées.
Ayant remarqué le phénomène, nous avons placé à nouveau d’autres fleurs près du portrait. Résultats identiques : toutes les fleurs sèchent en peu de temps. Quelques variétés réputées durer longtemps, dans un vase rempli d’eau, ont subi le même sort : les fleurs sèchent, sans perdre un seul pétale. Les roses grimpantes, de nature fragile, perdent vite leurs pétales qui ont tôt fait de former un tapis sur le sol. Pourtant, toutes les roses placées près de la photographie s’immortalisent en 10 ou 15 jours et les pétales ne tombent pas.
Nous en possédons des cartons pleins. Bien sûr, nous avons tenté de trouver une explication à ce phénomène qui se reproduit depuis plusieurs décennies. À ce jour, nous n’en possédons pas.
Que les fleurs soient dans l’eau, sans eau ou dans un pot rempli de terre, le résultat est identique. Nous avions pensé que le degré hygrométrique de l’air pouvait agir. Nous avons donc sans arrêt déplacé la photo, la changeant de pièce, du rez-de-chaussée au sous-sol : toujours le même résultat !
Si nous coupons deux fleurs venant du même pied, celle posée près de la photo sèche, l’autre meurt en perdant ses pétales.
Au cours du séchage qui devient visible vers le 8ème jour, si nous enlevons la photo, la fleur arrête de sécher, perd ses pétales et souvent se met à pourrir.
Une photo identique se trouvait en Saône-et-Loire, dans l’appartement de la veuve de Julien : le même phénomène se produisait, dans n’importe quelle pièce, en n’importe quelle saison et dans toutes les conditions !
Reproduisez chez vous cette expérience étonnante
Pour cela, c'est très simple : il vous suffit d'imprimer cette photo (ou de nous demander de vous l'envoyer par mail) puis de la poser chez vous, à l’endroit que vous voulez, et de fleurir celle-ci comme s’il s’agissait d’un de vos proches disparus.
Voici quelques précautions concernant les fleurs. Vous devez les choisir en "bonne santé", les couper avec précaution, de façon à ne pas déchirer les pétales ou abîmer les queues. Si, au cours de vos expériences, quelques pétales tombent, cela proviendra probablement d’une blessure de la fleur.
À noter que le séchage des fleurs s’accompagne souvent d’autres manifestations mystérieuses : déplacements d’objets, bruits, etc.
Ce test est paru dans diverses revues et magazines. Nous avons reçu plus d’une centaine de lettres de lecteurs ayant tenté l’expérience avec succès, mais "bizarrement", aucune missive émanant d’un scientifique. Mais nous savons qu’ils ont des préoccupations autrement plus importantes !
MERCI DE NOUS FAIRE PART DU RÉSULTAT DE VOTRE TEST EN NOUS LAISSANT UN COMMENTAIRE.
22:43 Publié dans UN TEST INCROYABLE A FAIRE CHEZ SOI. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : paranormal, immortaiisation, expérience, sujet psi, momification, test
18/07/2022
INTERVIEW DE RANKY PAR JACQUES MANDORLA
INTERVIEW DE RANKY
Par Jacque Mandorla
Pour ce blog PARANORMAL, Jacques Mandorla journaliste d’investigation et auteur, entre autres, de « Croyez aux dons qui sont en vous », « ABC du Magnétisme » et « Le Guide des Guérisseurs », a rencontré Ranky et son épouse Blondine chez eux, afin de parler des vrais et des faux dons paranormaux.
Voici le compte rendu intégral de cette interview.
Ranky a créé, en 1976, le Comité Illusionniste d'Expertise et d'Expérimentation des Phénomènes Paranormaux (CIEEPP).
Ce Comité, qu’il préside, réunit une vingtaine d'illusionnistes-experts français de haut niveau.
Chacun y a sa spécialité dans des disciplines distinctes : arts divinatoires, hypnose, télépathie, calcul mental, astrologie, Yi King, perception extra-sensorielle, radiesthésie, manipulation mentale, aberrations de la perception...
Jacques Mandorla : « Quelle est la mission de votre Comité ? »
Ranky : « Si des personnes parviennent à imiter de nombreux phénomènes Psi, cela ne prouve pas que le paranormal n'existe pas. Bien au contraire. Notre mission, c'est de prouver qu'il existe, en débusquant les arnaques. Voilà pourquoi les membres du Comité sont rompus à la simulation des phénomènes paranormaux. Métaux à mémoire, informatique, plaques thermo-sensibles... : nous connaissons tous les trucs. On s'attaque aux arnaqueurs de haute volée, dont certains arrivent à tromper le grand public, tels ces « chirurgiens à mains nues » ou cet ingénieur qui disait avoir inventé une machine à guérir le cancer et la maladie de Charcot. Tous sont des exploiteurs de la crédulité et de la misère humaines qui arrivent à tromper le grand public, en s’appuyant sur les médias. Ainsi, TF1 a diffusé dans l'émission « Mystères » un reportage au cours duquel on voyait un motard, une cagoule sur la tête, traverser les embouteillages parisiens en moto... sans aucune difficulté ! Le présentateur le faisait passer pour un médium doué d'un pouvoir extraordinaire. Mais, en fait, ce motard ne réalisait qu'un vulgaire tour de magie avec une cagoule truquée, parvenant à tromper l'huissier de justice mandaté par TF1. Le 10 février 1994, je fis refaire au motard l'expérience devant des caméras : il échoua lamentablement, car j'avais neutralisé sa cagoule, en plaçant sur ses yeux une balle de mousse, puis du coton, le tout fermement maintenu par du sparadrap noir. Sa cagoule truquée ne lui était plus d'aucun secours. Si je me suis acharné contre ce motard qui prétendait traverser Paris, les yeux bandés, en entrant en état de décorporation, faculté qui existe réellement, c'est non seulement parce qu'il utilisait une attraction d'illusionniste, mais surtout parce qu'il envisageait d'ouvrir un cabinet de thérapeute, grâce à l'énorme publicité qu'il avait obtenue à la télévision ! Ce personnage pouvait ainsi devenir un vrai danger public ».
Jacques Mandorla : « Quels sujets Psi étudiez actuellement ? »
Ranky : « Nous travaillons sur deux dossiers fantastiques. Le premier concerne un jeune médium étonnant : il entend des opéras, avec chœurs et solistes. Le plus extraordinaire, c'est que les chanteurs lui délivrent des messages, comme l'emplacement exact de trésors artistiques lesquels, après vérification, existent vraiment, alors qu'ils n'avaient même pas été répertoriés par les historiens ou les archéologues. Ainsi, pendant plusieurs soirées consécutives, une voix très aiguë et très pure répétait à l'oreille de notre médium le nom d'un village et d'une colonne brisée. Nous avons fini par retrouver ce village, où il ne s'était jamais rendu auparavant. Là, à notre grande stupéfaction, nous avons découvert une tombe dans laquelle reposait un castrat et comportant une colonne cassée : c'est peut-être sa voix, très aiguë et très pure, que le médium avait entendue ! Ce dernier n’entend pas de musique classique connue, mais des compositions originales qu’il nous chante : nous les enregistrons alors sur bande magnétique, puis nous les transcrivons sur papier. Un compositeur nous a assuré que c'était parfait au niveau de la ligne mélodique et de l'harmonie. Or, il faut savoir que ce jeune médium ne connaît pas la musique ! ».
Jacques Mandorla : « Et quel est l'autre cas extraordinaire ? »
Ranky : « Il s'agit d'un monsieur très âgé qui a le don de voyance. Posez-lui n'importe quelle question : il s'absente mentalement une minute à peine, comme s'il attendait un message venant d'un autre monde, puis il vous répond. Et la réponse vous laisse pantois. L'extraordinaire, c'est que l'expérience est répétitive : ça marche à chaque fois. Il faut l'entendre pour le croire. Si, par exemple, vous l'emmenez sur un chemin qui traverse une propriété privée ou un village - lieux qu'il n'a évidemment jamais visités -, il transcrira des scènes du passé ou de l'avenir, qui ont eu ou auront pour théâtre l'endroit où il se trouve. Ainsi, s'étant arrêté un jour en face d'une maison nouvellement construite, il nous décrivit, avec une justesse prodigieuse, la bâtisse qui s'élevait jadis à cet endroit ! ».
Jacques Mandorla : « Quel est le bilan de votre Comité ? »
Ranky : « En 30 années d'existence, notre Comité a étudié 300 dossiers, dont plus de 40 restent inexpliqués à ce jour. Il s'agit notamment de cas de psychokinèse étudiés par un laboratoire américain, de cas de voyance tout à fait déroutants et de guérisons que les médecins n'ont pu expliquer ».
Jacques Mandorla : « Qu’aimeriez-vous dire aux internautes du site/blog Paranormal ? »
Ranky : « Une chose très importante : le champ du surnaturel se rétrécit à mesure que la science fait de nouvelles découvertes. Mais un problème résolu engendre aussi de nouvelles questions, si bien que les questions de l'inconnu ne cesseront jamais de nous interpeller. La notion de paranormal matérialise les angoisses métaphysiques de l'Homme. L’irrationnel n'est pas seulement ce qui n'est pas encore expliqué. En tant qu'expert-illusonniste, je ne veux pas perdre de vue que c'est une dimension incontournable et essentielle de l'Univers et de l'Homme. Ma mission et celle du Comité, c'est de faire en sorte que ce grand mystère ne soit pas perverti par quelques charlatans ».
Jacques Mandorla : « Si une personne pense posséder un don de type paranormal, que lui conseillez-vous ? »
Ranky : « Je lui propose deux choses. Si elle est très motivée, qu’elle vienne faire tester ses capacités paranormales devant notre Comité. Si elle veut attendre un peu, qu’elle fasse d’abord le test des fleurs séchées ».
Jacques Mandorla : « De quoi s’agit-il ? »
Ranky : « C’est un test étonnant, très simple à faire chez soi. Imprimez la photo de cet homme inconnu se prénommant Julien, mort en 1970, posez-la à l’endroit que vous désirez et placez, à côté, des fleurs en bonne santé, coupées avec précaution, sans déchirer les pétales ou abîmer les queues. Vous constaterez alors que toutes les fleurs, quelles que soient leurs variétés, y compris les roses, sèchent entre huit et dix jours, sans perdre un seul pétale ! ».
Jacques Mandorla : « Comment expliquez-vous cela ? »
Ranky : « Je n’ai toujours pas trouvé d’explication à ce phénomène. Que les fleurs soient dans ou hors de l’eau, que l’on change la photo de place : le résultat est le même. Si vous coupez deux fleurs venant du même pied, celle posée près de la photo sèche, et l’autre meurt en perdant ses pétales. Si on enlève la photo en cours de test, la fleur arrête de sécher et perd alors ses pétales. Enfin, étrangement, ce test ne marche qu’avec cette photo ».
Jacques Mandorla : « Vous avez déjà proposé ce test à d’autres personnes ? »
Ranky : « Bien sûr. J’ai reçu de très nombreux témoignages de personnes ayant pratiqué ce test. Parmi mon courrier, j’ai trouvé un jour cette lettre étonnante : « J'ai acheté des roses à peine ouvertes et j’en ai prélevé deux du bouquet, que j'ai placées dans un petit vase en verre, sur une étagère, devant la photo. Il est important de noter qu’à côté du vase, sur la même étagère, se trouve mon poste de radio. Puis, je suis sortie pour faire mes courses et déjeuner avec une amie, ne rentrant chez moi que vers quinze heures. À mon retour, j’ai eu la surprise de voir que le vase était tombé par terre et avait été pulvérisé ! À cet endroit, je pose d’habitude un bougeoir en porcelaine qui, lui, n'est jamais tombé une seule fois. J'ai ramassé les deux roses qui étaient à terre, parmi les débris de verre, et je les ai mises dans un autre vase, en cuivre cette fois. J’ai aussi décidé de ne pas y mettre d’eau. Pourtant, les deux roses ont séché assez vite, mais sans perdre leurs pétales, comme si elles s’étaient immortalisées ! Je n’en revenais pas ! Puis, une autre fois, j'ai mis un autre vase, avec deux fleurs à l’intérieur, à côté du vase en cuivre. En rentrant d’un rendez-vous, j’ai trouvé les deux vases par terre ! Je ne comprends rien à ce qui se passe. Pensez-vous que ces chutes d’objets soient dues aux vibrations de mon poste de radio ? Sinon, quelle peut en être la cause ? ».
Jacques Mandorla : « Qu’en pensez-vous ? »
Ranky : « Je n’ai trouvé aucune explication. Pour ma part, je pense que le poste de radio n’est en aucune façon responsable de la chute des vases. Si encore, cette personne avait d’énormes haut-parleurs de sono professionnelle, les vibrations des membranes pourraient éventuellement créer un souffle suffisamment fort pour faire chuter un objet pas trop lourd. Les explications, auxquelles on peut plutôt penser, sont de trois ordres. Soit l’étagère est située en plein courant d’air. Soit il s’agit de phénomènes de poltergeist, c’est-à-dire de déplacements d’objets sans action volontaire de la part de cette personne, mais plutôt liée à son inconscient. Soit l’explication reste à trouver ! ».
Jacques Mandorla : « Vous n’ignorez pas que j’ai proposé votre test dans mon livre « Croyez aux dons qui sont en vous ». Voici le sympathique témoignage que j’ai reçu de la part de monsieur B. Faupin habitant à Reims : « J’ai fait le test des fleurs séchées : voilà trois semaines aujourd’hui que j’ai acheté des roses rouges que j’ai mises dans un vase avec de l’eau, à côté de la photo. Les roses ont séché peu à peu et sont devenues marron. Mais aucune n’a perdu ses pétales. Maintenant, que dois-je faire ? Je n’ose pas les jeter à la poubelle ! ».
Ranky : « Encore une confirmation de plus ! ».
11:32 Publié dans INTERVIEW : RANKY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paranormal, magie, mandorla, illusionnisme, ranky, sujet psi